1. Éducation Maternelle


    Datte: 14/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... réconforter.
    
    «Tu as fait de ton mieux, mon chéri, je suis fière de toi. Tu mérites une récompense.»
    
    Je l'ai aidé à s'asseoir au bord du lit, à ma place, et je me suis agenouillée entre ses jambes écartées.
    
    «Maman...!»
    
    J'ai soulevé avec précaution sa bite, si épaisse, si lourde de désir.
    
    J'approchais mon visage pour humer son odeur.
    
    Son arôme envahissait mes narines en agissant comme un aphrodisiaque.
    
    «Laisse maman s'occuper de tout» ronronnais-je.
    
    Ma langue a parcouru sa queue, de la base jusqu'au gland, en suivant ses veines gonflées de sang.
    
    Il gémissait d'impatience, un grognement si doux, qui résonnait directement dans ma chatte.
    
    Ma langue, mon nez, étaient assaillis par les goûts sucré salé de son jus, agrémenté d'une journée de sueurs.
    
    J'ai tout léché, désireuse de me pourlécher de sa magnifique bite. J'ai savouré.
    
    Je voulais récompenser mon fils d'être devenu un amant si docile et si prévenant.
    
    J'adorais sa verge. Je n'en ai jamais eu une aussi grande et aussi belle. Parfaite.
    
    Le liquide clair et goûteux continuait de s'échapper de sa bite.
    
    C'était un nectar, produit seulement après avoir subi des heures de tourment.
    
    Il enflammait mes papilles et ma chatte brûlait de désir. Car tout cela m'appartenait.
    
    Mes lèvres ont gobé son gland, après avoir tari son méat avec le bout de ma langue.
    
    Mon regard ne quittait pas ses yeux embarrassés et torturés.
    
    Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. L'excitation ...
    ... augmentait mon trouble.
    
    Une mère à genoux, suçant son fils avec sa bouche de salope.
    
    Que penserait mon mari s'il entrait maintenant? La vigueur de Camille était enivrante.
    
    Je l'ai sucé de plus en plus profondément, essayant d'imiter la vigueur d'une chatte.
    
    Camille a essayé de résister, de se contenir, vraiment.
    
    Bouche grande ouverte, respiration haletante et sifflante, puis ses doigts s'enfilèrent instinctivement dans mes cheveux.
    
    C'était peut-être un réflexe. Le besoin primordial de l'homme qui succombe, sa bite dans une bouche d'une femme.
    
    Je ne lui rendais pas les choses faciles. Je l'ai sucé avec ferveur, avec envie. Une bouche vorace.
    
    Le désir de sentir mon fils s'épancher dans ma bouche.
    
    Ses hanches bougeaient maintenant, un mouvement mécanique synchronisé sur le pompage de ma bouche.
    
    Je ne pense pas qu'il avait conscience de son geste, du plaisir qu'il me communiquait.
    
    Il gémissait, et une partie de mon cerveau s'est enflammée, me prévenant, me demandant de me calmer.
    
    Mais la plus grande partie de mon être s'enflammait, en proie à l'extase, désirant sa jeune vigueur.
    
    «Maman ... non ... je ...»
    
    Oui, bébé. Viens dans la bouche de maman ... Un jaillissement soudain.
    
    Camille poussa sa bite en avant, durement contre ma gorge.
    
    Ses mains agrippèrent mes cheveux, tirant ma tête vers lui, ne me laissant pas la possibilité de m'éloigner.
    
    «Maman ... maman ...!»
    
    Mon petit garçon, épuisé, poussé à bout, s'est délivré dans ma ...
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