1. Un jeune homme à la capitale (2)


    Datte: 13/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... m’allonger pour me reposer, ensuite nous ferons une promenade.
    
    Elle monte dans sa chambre alors que je tire les rideaux afin de briser la lumière printanière, puis je m’allonge sur mon lit. Peu habitué à la sieste, il me semble normal de rester habillé. Dans cette légère pénombre, je m’enfonce dans une torpeur agréable due à la fatigue et surtout au vin. Mes pensées vagabondent et reviennent sans cesse vers ma tante, ses seins, sa croupe. Une excitation monte lentement. Je déboucle mon pantalon, le baisse ainsi que mon slip et commence un lent mouvement de masturbation en évoquant tante Brigitte... La maison est silencieuse et si tante Brigitte descend, je l’entendrai dans les escaliers.
    
    Le vin et la fatigue eurent raison de moi et je sombrais dans un sommeil peuplé de femmes nues avec les traits de ma tante...
    
    — Eh bien, toi, tu sais te mettre à l’aise !!!
    
    La voix amusée de ma tante me réveille en sursaut. Elle se tient dans l’encadrement de la porte et regarde le piteux spectacle que je lui offre : allongé sur le dos, pantalon et slip à mi-cuisse, le sexe en érection. Tétanisé de honte, je suis, pendant un instant, incapable de bouger. Puis je reprends mes esprits, tire le couvre-lit sur moi et bégaye.
    
    — Pardon ma tante, pardon...
    
    Elle s’approche et s’assoit sur le bord du lit.
    
    — Ne panique pas, j’en ai déjà vu des sexes d’hommes. Plus que tu n’as vu de femmes nues, j’en suis sûr. Et d’ailleurs, pourquoi le cacher ? ajoute-t-elle en repoussant le ...
    ... couvre-lit, il est joli...
    
    Je ne savais que dire, je suis rouge et j’ai du mal à déglutir. Sans me laisser le temps de réagir, elle pose sa main sur mon sexe et immédiatement je me remets à bander.
    
    — Je vois que tu réagis vite, la fatigue du voyage est passée dirait-on.
    
    Sa main me caresse doucement d’un lent mouvement de va-et-vient.
    
    — C’est l’apanage de la jeunesse cette vigueur. As-tu eu beaucoup de copines ?
    
    Mes yeux passent de mon sexe emprisonné dans sa main à sa poitrine qui se trouve sous mes yeux. Je bégaye en mentant maladroitement :
    
    — Quelques, quelques-unes.
    
    — Et elles t’ont fait cela ? demande-t-elle en se penchant et en prenant mon sexe dans sa bouche.
    
    La sensation fut extraordinaire. Je m’étais déjà masturbé dans un gant de toilette tiède. Cela n’avait rien à voir. La chaleur de sa bouche, sa langue qui virevolte autour de mon gland, tout cela m’était totalement inconnu. Je regarde quelques instants sa tête monter et descendre au-dessus de mon ventre, puis ses fesses proches de ma tête. N’y tenant plus, je glisse ma main sous sa robe, remonte, pose la main sur ses fesses qui ne semblent protégées par aucun sous-vêtement. Le contact direct avec sa chair tiède, c’en était trop pour moi, c’est l’explosion.
    
    Elle garde mon sexe dans sa bouche, serre les lèvres autour de ma hampe et continue son lent va-et-vient. Je me répands longuement dans un grognement incontrôlé. Je n’ai vu une telle chose que dans les revues pornographique que les copains ...