1. Un jeune homme à la capitale (2)


    Datte: 13/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    L’ambiance est donc plutôt gaie et décontractée. J’ai l’impression d’être à des années-lumière du domicile familial où un éclat de rire est incongru et où, enfant unique, je m’ennuie à mourir. Je me sens quasi en vacances d’autant que ce stage ouvrier, période de découverte de l’entreprise, ne m’obligera qu’à la rédaction d’un rapport peu consistant. Pas de longues heures d’études le soir. Le bonheur...
    
    Ma tante a concocté, en l’honneur de son jeune homme préféré, dit-elle, un succulent déjeuner, et elle a tenu à ce que nous l’arrosions dignement d’une bouteille de vin. Moi qui n’en bois jamais, j’ai la tête qui tourne agréablement alors qu’elle nous ressert régulièrement en dévidant des histoires de famille dans lesquelles je trouve que les aventures et les adultères prennent une grande part. Mais cela la fait rire aux éclats. Elle est drôle, séduisante, gaie comme un pinson. Un rayon de soleil lorsque l’on sort d’une famille quelque peu austère.
    
    — Et tu aurais vu la tête de ta tante Danielle, la sœur de ton père, lorsqu’elle est entrée dans l’étable pour y trouver son mari et la bonne de la ferme ensemble. Lui avec le pantalon sur les chevilles. Il a essayé de s’enfuir, car ta tante Danielle était une matrone à la main leste et là, elle avait un battoir à la main !
    
    — Mais que faisait-il dans l’étable son pantalon baissé ?
    
    Elle me regarde d’un air surpris, hausse les épaules puis éclatant de rire, elle me dit :
    
    — Sûrement pas la traite des vaches. Toujours ...
    ... est-il qu’en essayant d’échapper à sa femme, il s’est pris les pieds dans son pantalon et s’est étalé sur le sol de l’étable. Il s’est cassé le nez. Un mini-scandale familial. La bonne a été licenciée. C’est un valet de ferme qui a été embauché pour la remplacer.
    
    Je la regarde rire de ses histoires et même si je ne comprends pas toujours le comique de situation, je ris moi-même de bon cœur. Quel plaisir que cette bonne humeur permanente ! Chez moi, on ne rit pas à table. Et on évite de parler...
    
    ... Après le déjeuner, elle propose de m’aider à ranger mes affaires avant une courte sieste pour me remettre de la fatigue du voyage. Quelque peu chancelant, nous rangeons mes vêtements et dans l’espace exigu de la chambre, je me trouve plusieurs fois à frôler sa croupe, ce qui me trouble, alors que j’ai de plus une vue plongeante dans son décolleté.
    
    Arriva le moment où elle éclate de rire en rangeant mes slips :
    
    — Eh bien, on ne peut pas dire que tu sois à la mode avec de tels sous-vêtements !
    
    — Mais ma tante, que voulez-vous que je porte ?
    
    — Mais des caleçons bêta... C’est bien plus agréable...
    
    — Comment le savez-vous ? Vous en portez ?
    
    — Qu’il est sot, dit-elle en me caressant la joue, tu as déjà vu une femme en caleçon ?
    
    Je deviens rouge comme une pivoine, ce qui la fait rire et elle ajouta :
    
    — En caleçon ou non, j’ai l’impression que tu n’as pas vu beaucoup de femmes. Je me trompe ? Il va être temps de faire ton éducation. C’est urgent. Bon, je vais ...
«123»