1. Déjeuner et shopping


    Datte: 13/11/2022, Catégories: fh, hplusag, fplusag, jeunes, candaul, magasin, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... dans ses bras et lui fasse l’amour, tout de suite. Mais ce n’était pas encore dans les plans de son épouse. D’ailleurs, Olga fit ensuite essayer à Elodie des tailleurs et son choix s’arrêta sur un modèle« executive woman », avec une jupe très courte. Le choix d’Olga fut conforté par l’achat de chemisiers, bien échancrés, de couleur crème ou claire et, pour un modèle, translucide. Habituée à ne pas porter de soutien-gorge, Elodie savait que cette tenue la rendrait aussi indécente que si elle était nue.
    
    Pour terminer, Olga acheta pour Elodie des jupes courtes, puis lui fit essayer des robes magnifiques et d’un érotisme inouï. Son choix se porta sur une longue robe noire, avec un dos nu jusqu’aux fesses, très décolletée et fendue sur le côté.
    
    Olga en avait enfin fini avec cette frénésie acheteuse qui transformait radicalement Elodie qui rougit rien qu’en imaginant le montant de la facture.
    
    Très classe, Philippe se leva, donna un bisou à Olga puis à Elodie.
    
    Toutes les deux eurent la même réaction, un seul mot « merci ».
    
    Il se dirigea discrètement vers la caisse pour procéder au règlement.
    
    — Je vous ai fait une remise très spéciale, susurra Mario.
    
    Philippe rajouta :
    
    — Mais moi aussi je vais vous faire un superbe cadeau, Mario. Je crois que mon épouse a très envie que vous la baisiez. Et, à mon avis, cette envie est réciproque, n’est-ce pas ?
    
    Philippe choisissait tous les partenaires de son épouse et avait une grande habitude de ce type de ...
    ... discussion.
    
    Mario se figea et regarda Olga qui faisait sa timorée, un peu en retrait. Son Philippe la connaissait si bien ! Elle passa sa langue sur ses lèvres, ses yeux trahissaient son désir. Des semaines que, malgré leurs recherches, Philippe et elle n’avaient pas trouvé un partenaire répondant à leur critères exigeants, à la fois viril et endurant, mais dont la discrétion serait garantie. Mario, en bon commerçant qui avait pignon sur rue, qui était un macho invétéré, grand dragueur de ces dames devant l’éternel, semblait correspondre au profil et apporter toutes ces garanties, de discrétion notamment.
    
    — Je n’ai rien contre, bien au contraire,
    — Vous devrez la baiser devant nous, mais à une seule condition. Lâchez-vous et traitez-la comme la grosse cochonne qu’elle aime être.
    
    Mario acquiesça de la tête, donnant son feu vert à cette offre pas banale. Il avait compris ce qui était attendu de lui. Il voulait cependant que soit confirmé le consentement du mari :
    
    — C’est vraiment ce que vous voulez ? Ici ? À moi, votre épouse et à vous, la petite, c’est cela le deal ?
    — Nous allons juste vous regarder faire, tranquilles.
    
    Olga avait compris au regard de Mario ce qui se tramait. Son regard s’était chargé d’envie au fur et à mesure que Philippe lui parlait.
    
    Philippe demanda à Olga de se rapprocher de lui. Les deux époux échangèrent un long baiser fougueux, puis Philippe fit tomber la robe d’Olga. Son épouse était nue et offerte. Ses tétons dressés traduisaient son excitation ...
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