Déjeuner et shopping
Datte: 13/11/2022,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... était de nature soumise, mais parce qu’elle se sentait bien avec ce couple et sous sa protection. Elle savait qu’ils la prenaient sous leur coupe, certes pour leur plaisir, mais aussi pour que le papillon qu’elle était, sorte enfin de sa chrysalide, qu’elle assume ce qu’elle était, qu’elle s’affirme pleinement, dans sa vie comme dans sa sexualité. Ce parcours initiatique ne pouvait être que bénéfique pour affronter sa soutenance de thèse et réussir dans sa vie professionnelle comme sentimentale.
Elodie se disait aussi qu’entrer pleinement dans le jeu de l’hypersexuelle l’amènerait à avoir bientôt ce dont elle rêvait depuis le début du week-end, à savoir faire l’amour avec cet homme classe qu’elle désirait et dévorait des yeux.
Les regards que portait Philippe sur la jeune fille n’avaient pas échappé à Olga :
— Décidément, dit l’épouse à voix basse, elle te plaît, cette petite !
— Tu me laisseras lui faire l’amour, ma chérie ? Vraiment ?
— Elle ne veut pas que tu lui fasses l’amour, elle veut que tu la baises !
Elodie rougit, n’osant pas contredire Olga. Philippe avait compris, lui, qu’elle préférait l’amour à la baise. Philippe ne cachait plus ce qu’il voulait :
— C’est vrai, j’ai envie de toi, Princesse !
Les yeux d’Elodie parlaient pour elle et disaient combien elle aussi en avait envie. Elle n’osait exprimer son désir, craignant toujours la réaction imprévisible d’Olga.
Elle les ramena à la réalité :
— Le week-end n’est pas terminé et je n’en ai ...
... pas fini avec elle. On verra si elle est sage. Cette petite garce pourrait alors avoir ce dont elle rêve.
Elodie, Olga et Philippe sortirent du restaurant. La jeune fille se glaça quand tous les yeux des clients et du personnel de service se posèrent sur elle. Ils admiraient sa robe noire trop courte qui lui collait au corps, son maquillage et sa coiffure travaillée par Olga. Les hommes ne cachaient pas leurs envies et les femmes leurs jalousies réprobatrices. Un grand malaise l’envahit. Elodie avait mangé et bu plus qu’elle n’avait l’habitude de le faire. Elle se sentait un peu ivre, pas seulement de ces bons vins, mais aussi des perspectives qui avaient été évoquées. Cela suffisait pour provoquer chez elle une forte tension émotionnelle.
Ils firent une promenade dans les rues piétonnes, chacun tenant Elodie par la main.
— Maintenant, on va s’occuper de la garde-robe de cette demoiselle. Chéri, je t’ai prévenu, tu vas devoir faire chauffer ta carte bleue !
La jeune étudiante se demanda ce qu’Olga avait en tête, ce qu’elle voulait que Philippe lui offre. Elle eut très vite la réponse, Olga les faisant entrer dans une petite boutique de prêt-à-porter féminin, où se trouvaient des collections audacieuses :
— Ma boutique préférée ! On y trouve ce qu’il y a de plus beau et de plus sexy !
— Chérie, il faudrait peut-être demander à Elodie si elle a envie de porter ce type de vêtements, comme ceux que tu aimes.
— Laisse-moi faire, tu vas aimer, j’en suis certaine ! ...