1. Offerte avec mon approbation (5)


    Datte: 11/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: XYaimeXX, Source: Xstory

    ... remuer, ce qu’il ne fit pas sans que les deux queues ne s’échappassent de mon vagin deux ou trois fois, chacun jugea plus pragmatique de revenir à de bons vieux classiques.
    
    Seulement, Aziz avait pu, pendant le premier round, se faire une idée des possibilités des différents intervenants. Il ne fallait pas oublier que j’étais livrée à tous ces mâles pour son plaisir. Il prit donc la direction des opérations, fixant à chacun ce qu’il aurait à faire. Cela s’accordait mal avec l’impatience des garçons, mais ils n’avaient guère le choix.
    
    Il y avait un vieux canapé, très large et très profond, dans le fond de la pièce. Après l’avoir décollé du mur auquel il était adossé, Aziz y fit s’asseoir un type sur lequel je vins m’asseoir à mon tour, ou plutôt m’appuyer, suffisamment pour que je puisse attraper sa queue et la branler et qu’il puisse me peloter les nichons. J’écartais mes cuisses au maximum, offrant la possibilité à mon vicieux beau-père de venir me bouffer la moule bien ouverte et, enfin, un mec debout dardait sa queue en direction de ma bouche.
    
    L’expertise de mon beau-père m’emmena directement au plafond. Il faut dire qu’il a les lèvres épaisses, une grande bouche et une grosse langue dont il sait faire un usage consommé. Il me la fourrait dans le trou et me ravinait la chatte avec talent.
    
    Quand Aziz en eut assez, il fit changer les rôles. Ainsi, à l’exception du mec qui était dans mon dos, chacun passa la tête entre mes cuisses et son nœud dans ma bouche. A la ...
    ... fin du tour, je dus m’allonger sur le côté et le mec qui était derrière moi dut m’enfiler.
    
    Des flashs crépitèrent. Aziz prenait des photos.
    
    — Allez. Il faut que la salope suce deux bites à la fois.
    
    Je me mis donc à genoux pour exécuter cette sentence.
    
    Le reste est confus. La fatigue venant, je ne me souviens pas de tout ce que j’ai pu ramasser. La seule chose que je peux dire, c’est qu’ils m’ont prise par tous les trous. A aucun moment, je n’ai eu le con ou le cul vide et la bouche ne s’est guère arrêtée de sucer.
    
    Je me souviens cependant de sacrés coups de queue, notamment de quelques bonnes doubles, un gars devant, un autre derrière, me besognant sous les ordres de mon mari.
    
    — Allez-y les gars, déboîtez-la. Vous voyez qu’elle aime ça. Vas-y Anis ! Fais-toi plais’... Ouais, c’est bien gros ! Jute-lui bien au fond de la chatte là ! Ouais... C’est bon ça... Qui veut la place ?
    
    Il n’eut pas à attendre longtemps. Pour autant, si Amine venait de me fourrer le con avec beaucoup d’énergie, il était bien le seul à s’être vidé les couilles pour la seconde fois. Il me sembla que les garçons n’étaient plus assez endurants dans cette deuxième prestation que lors de la première. Et quant à moi, je commençais à fatiguer grandement. J’avais mal à la mâchoire à force de sucer et aux adducteurs à force d’écarter les cuisses. Je n’osais imaginer mes fesses qui devaient être écarlates.
    
    Aziz distribuait toujours les consignes. Mais à mesure que je me faisais sauter, il ...