1. Offerte avec mon approbation (5)


    Datte: 11/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: XYaimeXX, Source: Xstory

    ... forçaient, chacune dans son orifice, ne faisaient que de m’allumer pour prolonger plus chaudement la soirée.
    
    Mais aussi endurants qu’ils fussent, les mecs durent bien rendre les armes à un moment. J’entendis le premier s’écrier :
    
    — OOOOOOO oui putain je jouis, c’est trop bon, je jouis ! Alors qu’il était dans ma bouche et que presque simultanément une crème tiède, épaisse, salée et amère m’emplissait la bouche et la gorge, au point que je faillis en vomir.
    
    Cela ne fit qu’exalter l’ardeur des deux autres. Celui qui était dans mon cul, s’en extrayant, jura en me recouvrant le dos d’une avalanche de foutre. Au même moment, Mousse se raidit pour expulser toute sa sauce au fond de mon sexe en s’emboîtant profondément en moi.
    
    Satisfaits autant que fourbus, les trois types rejoignirent les autres auprès du buffet, et moi, je restais seule, comme une conne, avec mon orgasme en pleine expansion et que personne n’allait éteindre. Ma main trouva donc immédiatement ma foufoune, mais sans que mes doigts puissent faire le même office que ces bonnes tringles qui venait de me secouer.
    
    Aucun mâle n’avait encore retrouvé suffisamment de vigueur pour me remplir la chatte. Cependant, l’un d’eux remarqua mon manège.
    
    — Dis donc Aziz, elle s’amuse bien ta femme. On dirait qu’elle en a pas encore eu assez. C’est une sacrée bouffeuse de pines, dis donc ! Elle se console souvent toute seule après, comme ça ?
    
    Je répondis :
    
    — Forcément bande de salauds puisqu’il n’y en a pas un ...
    ... seul qui soit capable de triquer. Je dois compenser votre impuissance toute seule... ça baise vingt minutes, et après, plus rien... bande de minables... petites bites !
    
    Les mecs riaient tout en bouffant leurs tartines ou leurs sandwichs.
    
    L’un d’eux dit :
    
    — J’ai peut-être ce qu’il lui faut !
    
    Et il brandissait un concombre de fort belle taille, n’avait pas encore été entamé.
    
    Un autre reprit :
    
    — Vas-y Amine, fous-lui dans la chatte et je le suce après !
    
    — Chiche !
    
    — Chiche !
    
    Alors les gars me soulevèrent et me portèrent sur la table entre les assiettes et les bouteilles.
    
    — Ah la vache, elle est couverte de sperme !
    
    — Ouais... On l’a bien arrosée la garce.
    
    Le dénommé Amine m’enfonça donc le concombre dans le con, avec un sourire vicelard, et il lui fit faire une série de mouvements vigoureux. La dureté du légume ainsi que ses dimensions avantageuses me remplirent immédiatement l’intégralité du con et de satisfaction.
    
    — Oh putain les gars, elle a le concombre dans le saladier !
    
    Saillie qui provoqua une cascade de rires comme tout le reste de l’humour épais de ces joyeux compagnons...
    
    Et pendant ce concours de plaisanteries graveleuses, Mousse prit une petite cuillère et commença à ramasser le sperme qui me recouvrait le corps. La chose ne fut pas si aisée, car il ne restait guère que des boulettes coagulées, tout le reste s’étant écoulé. Mais il en récupéra suffisamment pourtant pour en beurrer une tranche de pain. :
    
    — Tiens ! Tu dois ...
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