Le gage de ma cousine (2) - Histoires de Sexe

Le gage de ma cousine (2)

... habilement mon sexe. Elle n’était pas débutante en la matière. La façon dont elle s’enfonçait bien comme il faut, puis remontait lécher mon gland, témoignait une connaissance du plaisir masculin. Ma respiration devenait de plus en plus rapide. A ce rythme, je n’allais pas tarder à jouir.

L’esprit totalement embrumé par le plaisir, je m’enhardis à poser une main sur sa poitrine. Elle poussa un gémissement étouffé. Adroitement, je passais sous la dentelle et pus enfin toucher sa peau douce. Comme je l’avais présumé, son sein était bien ferme. Je voulais voir si elle pouvait contrôler la situation jusqu’au bout. Je fis rouler son téton entre mon index et mon pouce et le pinçai. Elle laissa échapper un cri et remua les hanches. C’en était trop, je ne pouvais plus tenir.

— Je... Je vais venir Amélia.

A mon étonnement, elle ne s’écarta pas et serra les lèvres. Je poussai un râle et joui, remplissant sa bouche de sperme. Ça faisait longtemps que je n’avais pas ressenti autant de plaisir. Elle se releva, la bouche fermée et se rendit dans la cuisine.

Mon corps flottait entre euphorie et fatigue. L’inconvenance de la situation parviendrait plus tard dans mon cerveau. Pour le moment, je reprenais mon souffle, l’image de ma main sur sa poitrine, ancrée dans ma tête.

Elle revint s’asseoir à mes côtés, les yeux encore brillants.

— Putain Amélia, soufflais-je encore sur mon nuage.

— Je ne pensais pas te faire jouir, avoua-t-elle.

— Où as-tu appris à faire des ...

... pipes pareilles ?

— Tu sais j’ai pas mal d’expérience, il n’y a pas que toi qui te tape du monde.

— Je pensais avoir été plus discret à ce propos, marmonnais-je.

— Fais pas l’innocent. Tu as ramené un paquet de filles ici, je vous entendais tu sais ? Tu n’as jamais voulu parler de sexe, mais tu prenais plaisir à les baiser à quelques mètres de moi. Combien de fois je les ais jalousé, elles qui prenaient leur pied, alors que j’étais seule dans mon lit.

— Désolé je ne savais pas.

— T’inquiète pas, les choses ont déjà commencé à changer, me rassura-t-elle avec un clin d’œil.

Néanmoins, j’étais gêné qu’elle en sache autant sur mes rendez-vous nocturnes. En même temps, le fait de l’imaginer dans la pièce d’à côté en train d’écouter, me troublait. Est-ce qu’elle s’était caressée, pendant que je pilonnais ces filles ? J’allais lui poser la question quand elle se leva.

— Bon, je dois t’annoncer quelque chose qui ne va pas te plaire.

— Comment ça ?

— Tu as perdu le défi. A toi les deux semaines de vaisselle !

Trop abasourdi pour répliquer, je me contentai de rire. Elle ne perdait pas le nord. Cependant elle ne s’en tirerait pas aussi facilement.

— C’est totalement déloyal, mais d’accord je ferais la vaisselle. Maintenant à moi de te donner un défi.

— Je t’écoute, s’exclama-t-elle un peu trop heureuse à mon goût.

— Tu vas devoir téléphoner à une amie, pendant que je m’occupe de toi. Et elle ne doit se douter de rien.

— Oh, réagit-t-elle en ...