1. Deux sœurs et un Coronavirus (4)


    Datte: 10/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory

    ... explication, direction mon petit cul, bien décidée à me faire subir le même sort que celui que je venais de lui réserver.
    
    Quelle émotion lorsque je sentis la langue de ma sœur ouvrir les lèvres de mon sexe ! Je n’avais jamais rien désiré aussi fort. Elle ne perdit pas de temps. Aussi affamée que je l’étais, elle se jeta sur ma chatte sans la moindre précaution. Avant que je puisse comprendre ce qui m’arrivait, sa bouche explorait mes muqueuses les plus privées, alors qu’un de ses doigts pénétrait mon vagin. De la franche démence.
    
    Moi, j’étais le cul en l’air, livrée à sa fantaisie, la poitrine et le visage aplatis contre le matelas, haletant comme une dingue. Est-ce que j’étais encore un peu honteuse ? Je dois bien avouer que oui. Est-ce que ça rendait tout ça encore meilleur ? Oh, mille fois oui.
    
    Elle fit très vite monter la pression, ma petite délurée. Il ne faut pas longtemps avant que le détail de sa bouche sur mon sexe, de ses doigts qui pistonnent en moi, ne s’effacèrent, gommés par des sensations agréables dont le niveau n’arrêtait pas de grimper. C’était la montée irrémédiable, comme aux montagnes russes.
    
    On finit par atteindre un plateau. En moi, le plaisir cognait. Chaque coup pouvait me faire basculer, je le sentais. Je haletais comme une chienne. Rien de convenable. Ma respiration se bloqua. Mes doigts se crispèrent. Je me mordis la lèvre. Je voulais crier le prénom d’Émilie, mais tout ce qui sortit de ma gorge, ce fut un long gémissement. Mes ...
    ... sourcils se froncèrent. Mon abdomen se tortilla. D’un instant à l’autre, j’allais...
    
    Émilie donna un dernier coup de langue sur mon clitoris et je lâchai tout. C’était le grand O. Comme une chute libre, une accélération, un truc à mi-chemin entre la panique et le bonheur. Il n’y avait plus de contrôle. C’est la folie. Tout partit de mon sexe et se propagea à chaque partie de mon corps. Ma peau ardente se changea en organe sexuel. Mon ventre, mon souffle, les battements dans mes tempes devinrent du plaisir. Je me mis à fondre. Je n’avais plus de conscience. L’orgasme prit sa place. Femelle changée en cri. Je me déchirai. Je chavirai. Tout était jouissance.
    
    Quand cette incandescence fit mine de décliner, je repris une bouffée d’oxygène. Puis le plaisir renaquit et ondoya en moi, plus fort encore. Je criai. Je crois que je ne me suis jamais arrêtée de crier, en fait.
    
    Anéantie, je chutai sur le matelas comme un fruit mûr. Cet orgasme a l’agonie très lente. Il s’apaisa, mais très lentement, et m’agita encore de nombreux soubresauts délicieux avant que je puisse reprendre un tant soit peu de contrôle sur moi-même.
    
    Lorsque j’y parvins, je fondis sur Émilie pour la couvrir de bisous tendres et reconnaissants. On se serra l’une contre l’autre, nues, seules au monde, merveilleusement bien.
    
    Quelque part, dans un monde rendu fou par un virus, dans une ville nommée Paris, derrière l’une parmi des millions de fenêtres d’immeubles frappés par le confinement, deux sœurs venaient de ...