Deux sœurs et un Coronavirus (4) - Histoires de Sexe

Deux sœurs et un Coronavirus (4)

Nos langues s’emmêlèrent, nos cuisses se mélangèrent, nos peaux se consumèrent. Sur les draps, mes cheveux se terminaient là où ceux de ma sœur commençaient. Oh ma Lili, j’avais tant d’envies en ce qui te concernait. Chacun de mes gestes les rendait plus réelles.

Désormais, il n’était plus question que d’ardeur. Ce qui s’était amorcé entre nous, cette histoire de deux frangines rendues folles d’ennui dans leur petit appartement, en plein confinement causé par le Coronavirus, n’était plus un simple coup de folie passagère, mais quelque chose de plus tangible, de charnel, de réel, de diablement excitant. J’avais faim de la visiter, de l’investir, de la posséder. Si j’avais eu une queue, je l’aurais pénétrée.

En lui faisant l’amour, je la trouvai ravissante, émouvante, ensorcelante. Voir sa respiration soulever ses côtes sous sa peau nacrée, poser mes lèvres là où jamais une fille ne devrait le faire sur le corps de sa sœur, comme sur les ravissantes fossettes au-dessus de ses fesses, dans le sillon entre ses deux seins, au creux le plus secret de ses cuisses.

L’étonnement de constater que soudain, le corps de ma sœur m’apparaissait comme un parcours fléché pour lesbienne, avec davantage d’idées d’activités que je n’aurais pu en épuiser en dix nuits.

De son côté, ma petite maîtresse n’était pas en reste. Incroyable comme elle était douée pour ça. Elle balada ses doigts sur chaque recoin de mon corps, déposa un alignement de bisous le long de mes clavicules, avant ...

... de descendre vers mon nombril, qu’elle lécha comme une friandise, puis de sucer timidement mon gros orteil - ce qui me fit un effet d’une ampleur que je n’avais pas du tout imaginée. Du genre "Oh mon Dieu."

Au passage, elle posa un bref instant, comme si tout cela était fortuit, le bout de son index sur mon anus, comme si elle voulait y poser sa marque pour ses explorations futures.

Au bout d’un moment, nos caresses nous avaient ramenées au même point que tout à l’heure: nous étions brûlantes, collantes, couvertes de sueur, la respiration alourdie, avec nos cœurs qui cognaient dur, leurs battements résonnant jusqu’au fond de nos vulves.

Dans ces conditions, à nouveau mi-affamée, mi-folle, mes doigts trouvèrent tout seuls l’ouverture du sexe de ma sœur et y pénétrèrent. Encore une transgression supplémentaire, mais désormais on ne les comptait plus.

Mes phalanges se glissèrent entre les muqueuses de Lili, se couvrirent de son fluide tiède et poisseux. Je m’y sentais bien, je m’y sentais à ma place. Elle accueillit mon intrusion en me mordant la nuque. Je me mis à triturer cet endroit intime. C’était mieux que tout à l’heure, avec la culotte en guise d’obstacle. Ma main était enduite de sa mouille. Elle chuchotait des "Oh putain" qui devinrent de plus en plus sonores à mesure que je prolongeais ma cajolerie.

Possédée par le plaisir, les gestes désordonnés, elle s’emboîta contre moi et m’embrassa passionnément. Ma Lili...

Ses doigts, tremblant d’excitation, ...