La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1522)
Datte: 09/11/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... l’argent qui coule à flot, il y en a chez le Marquis, ses aïeux ont su faire prospérer le Domaine. Mon père me disait que dans les années 1920, le grand-père de Monsieur le Marquis donnait du travail à tout le village et aux alentours, ayant investi à l’époque, dans plusieurs usines de plusieurs secteurs d’activités, en plus de celle viticole… Et Edouard, le Marquis actuel, bien que né avec une cuillère d’argent dans la bouche, a lui aussi su développer son patrimoine par son intelligence, son discernement et à la force de son investissement personnel. On dit qu’il a des participations financières dans de grosses entreprises internationales étant lui-même à la tête d’une multinationale, qu’il possède plusieurs propriétés en France (et à l’étranger), dont un hôtel dans le sud de la France, qu’il possède plusieurs immeubles haussmanniens sur les Champs-Elysées à Paris, et un haras en Normandie ! Et puis, il y a tout ce que l’on ne sait pas…
J’informais Louise et Charles de mon intention de rencontrer Monsieur le Marquis, dans le cadre de mon installation ici. Tous deux m’encourageaient à le faire, me rappelant que le Noble était très attaché à la vie économique de sa région où il est né. Donc aller le rencontrer était une chose que j’envisageais dès le lendemain matin…
La nuit fraiche m’avait permis de bien dormir, pourtant en me couchant ce n’était pas gagné, j’avais été encore une fois très excité à l’idée de rencontrer cet Homme. Pour pallier à cet excès de ...
... testostérone, j’avais dû me branler une nouvelle fois. J’en ai même éjaculé en m’imaginant simplement déambuler dans son Château, étant juste à ses côtés, alors qu’il ne faisait que m’observer attentivement ! Mais pourquoi diable étais-je tant enfiévré ? Qu’est-ce qu’il y avait d’excitant à imaginer juste cela ?… J’attendais dix heures pour appeler. Heure qui me paraissait idéale pour ne pas déranger Monsieur le Marquis trop tôt. Alors que je commençais à pianoter sur mon IPhone le numéro de téléphone lu sur sa carte de visite, je constatais que ma main tremblait. J’étais nerveux, très nerveux, à la fois impatient et inquiet. Au bout de la troisième sonnerie, une voix grave mais fluide répondait :
- Ici le Château de Monsieur le Marquis d’Evans, Walter à l’appareil, que puis-je pour vous ?
J’étais déconfis, je m’attendais tellement à parler directement à Monsieur le Marquis, j’hésitais un instant, me demandant même si je ne devais pas raccrocher. Je prenais une longue respiration, mais je balbutiais tout de même mes mots, la gorge serrée
- Allo, bonjour Monsieur, je suis Alexandre Lapeyrière.
- Oui bonjour monsieur, se connait-on ?
- Non Monsieur,
- Pourquoi appelez-vous alors ?, me répondait ledit Walter assez sèchement, du genre à ne pas le déranger pour rien.
J’étais tétanisé, comme assommé par cette réponse glaciale. A cet instant mon petit bout de chair, ma nouille, entre mes jambes ne faisait plus l’intéressant. Je suais alors à grosses gouttes, tremblais, ...