Lundi - Histoires de Sexe

Lundi

... caresser et arriver à la jouissance mais avec l’interdiction formelle de baiser avec Chantal.

Enfin, si elle exécute bien sa mission, je lui donnerai peut-être l’occasion de se payer ma belle-mère et d’en profiter occasionnellement.

À cette seule idée, Michèle commence à se trémousser et demande quand elle entamera sa mission.

Je lui explique qu’elle recevra par texto un menu quotidien à partir de demain. Sur ce, je la congédie en lui payant son dû pour m’avoir attendu.

Je rentre de nouveau chez Chantal. Elle sort de la salle de bain et est toute nue

— Alors qu’est-ce que tu fais ?
— Je sors de la douche
— Tu n’as pas fait ce que je t’ai demandé ?
— Bien sûr que je l’ai fait, mais je n’en peux plus d’attendre et finalement ne pas pouvoir jouir.
— C’est encore tôt pour le faire.
— Que voulez-vous faire de moi ?

La voix de Chantal exprime l’anxiété.

— Tu le sauras assez tôt, mais maintenant on va passer à une petite inspection en détail.
— Quelle inspection ?
— Je veux voir ta garde-robe et tes sous-vêtements.
— (En rougissant) Mais pourquoi ?
— Pas de discussion, vas-y.

Elle ouvre les pans des armoires et tire d’un des tiroirs la totalité de ses culottes, en les voyant je suis au désespoir, ce sont toutes des culottes hautes en coton, aucune qui soit sexy et la même chose pour ses soutifs. Ses robes et tailleurs sont plutôt réservés comme il sied à une femme de son âge selon elle.

L’inspection finie, je dis :

— Tes sous-vêtements, tu ...

... les vires, on va en acheter d’autres qui correspondent mieux à ta nouvelle condition.
— Mais je ne suis pas habituée à autre chose. Cela fait soixante-quinze ans que je les porte.
— À plus forte raison, ils doivent être pourris après tout ce temps. Il faut les changer et choisir un autre look. Prépare-toi mais ne met pas de culotte.
— Mais je ne suis jamais sorti sans sous-vêtements.
— Ce sera aussi une première fois.

Je la laisse pour aller me préparer à mon tour et quand elle est prête, elle sonne chez moi.

— Je suis prête.
— Lève ta robe que je voie.
— Tout est selon vos désirs.

Elle relève sa robe et me montre sa chatte sans culotte.

— Mais si je dois acheter des sous-vêtements, je ne peux pas ne pas avoir de culotte.
— Tu peux être sûre que les vendeuses en ont vu d’autres.

En voiture je lui explique le problème à la banque, du blocage de son compte et sa carte bleue et que dorénavant elle devrait passer par moi.

Elle n’est pas contente mais doit s’y faire. Elle me demande comment elle va payer ses achats. Je la conforte en lui disant que je payerai et qu’elle me remboursera plus tard.

L’après-midi se passe dans les achats des vêtements, sous-vêtements et autres accessoires, non sans quelques situations cocasses. Les vendeuses étaient étonnées de voir une dame de cet âge suivre les directives et les conseils d’un homme sensiblement plus jeune qu’elle pour acheter des fringues de jeune fille et des sous-vêtements on ne peut plus suggestifs. ...