Lundi - Histoires de Sexe

Lundi

... Michèle ma femme de ménage peut s’occuper de toi et on n’aura pas Martine entre les jambes, c’est le cas de le dire.
— Je suis tout à fait d’accord avec vous.
— Mais il y a une condition à tout cela.
— Laquelle ?
— Tu devras être conciliante et accepter tout ce que je vais te demander sans un seul mot.
— Je suis toute à vous, je suis votre esclave soumise et heureuse de l’être, je ferais tout ce que vous me demanderez sans même formuler une seule objection ou réticence.
— C’est comme ça que je te veux.
— Croyez-moi, ce sera pour la première fois de ma vie.
— Les premières fois ne vont pas s’arrêter de sitôt, mais une chose primordiale surtout pas un mot à ta fille.
— Sûrement pas !
— Le programme de la journée est fait, tu envoies Martine pour un mois et tu t’entends avec Michèle (ma femme de ménage) pour qu’elle vienne chez toi pendant l’absence de Martine. Et quand ce sera fait, tu m’appelles pour recevoir d’autres instructions plus précises.
— Avec plaisir.

Je suis étonné et surpris de ce changement si rapide du comportement de ma belle-mère et je mets ça sur le compte à la fois d’avoir enfin connu l’orgasme et d’avoir enfin trouvé son Maître.

Ayant encore un peu de temps avant de la quitter pour mon travail, je commence à caresser son corps comme hier soir en évitant sa chatte, mais en jouant avec ses seins. Très rapidement elle réagit à ces caresses et se met à mouiller.

Elle se trémousse et son corps vient à la rencontre de mes caresses. Elle me ...

... regarde et veut anticiper ce que je fais, à ce moment, je lui couvre le visage avec le drap pour la laisser dans l’expectative et l’anxiété de ce qui allait suivre, sans aucune certitude. Là encore dès que je sens à ses gémissements qu’elle approche de l’orgasme soit je calme le rythme soit j’arrête complètement. Finalement, je décide de la laisser sur sa faim pour mieux entamer le reste de la journée et la garder sous pression.

Je me lève pour me préparer à mon travail et là elle gémit et supplie :

— S’il vous plaît, finissez-moi.
— Non, ce n’est pas le moment, on verra à mon retour.
— Vous ne pouvez pas me laisser sur ma faim.
— Bien sûr que si, tu n’apprécieras que mieux la suite.
— Je vous en supplie !
— Il n’en est pas question, je dois me préparer et aller à mon travail.
— Je ne peux pas attendre jusqu’au soir.
— Tu as attendu pendant longtemps avant d’avoir un orgasme alors quelques heures en plus ou en moins ne vont pas faire une grande différence.

Je termine de m’habiller sous ses yeux alors qu’elle est toujours nue sur mon lit. Je lui pose un baiser sur les lèvres et je quitte l’appartement en la laissant dans mon lit.

En conduisant, je réfléchis à quoi faire pour continuer la pression sur ma belle-mère. Je décide de prendre trois semaines de vacances ayant dépassé déjà les objectifs du trimestre et ayant pas mal de vacances et de RTT qui doivent expirer à la fin de l’année.

Arrivé à mon bureau, la première des choses que je fais est de demander ...