Le romantisme n'est pas mort (il dort) (1)
Datte: 07/11/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Strangemax, Source: Xstory
... avec le temps. Très sensiblement, dans son look, son comportement général, elle gagnait ensophistication. Les cheveux très noirs, la lèvre inférieure légèrement retroussée, les pommettes hautes : le mélange était original, un peu étonnant et finalement plutôt réussi. Ah, si ! je notais finalement qu’elle avait les deux dents de devant légèrement écartées : rien de rédhibitoire, cependant, d’autant plus qu’elle était particulièrement bien roulée. Un corps fin, mais bien formé, un petit cul légèrement bombé et de bons seins qui remplissaient sans mal des décolletés qui invitaient parfois à de profondes méditations.
De fait, sans avoir jamais véritablement fait de trip pseudo sentimentale sur B, je m’étais déjà souvent masturbé en pensant à elle, et je n’avais vraiment rien contre la réalisation d’un vieux fantasme.
Dans ce genre de situation, il faut sauter sur l’occasion pendant que la porte des possibles est entrouverte, événement rare et précieux. Je lui ai donc proposé, d’un ton vaguement mystérieux, d’aller visiter la salle de réunion du 7ème. Sur le coup, elle n’a pas semblé comprendre. La salle était un peu à l’écart et pas souvent utilisée. Dans une sorte d’étourdissement un peu irréel, nous nous y sommes donc retrouvés tous les deux. La pénombre ne cachait pas grand-chose de nos faiblesses réciproques, malgré le ronron de l’ordinateur et la lueur quasi religieuse du projecteur qu’on avait oublié d’éteindre. B se tenait debout, là, un peu raide, offerte sans en ...
... avoir l’air, elle souriait bêtement, un peu gênée, je crois. Ce moment-là n’est pas très agréable, mais ça a quand même duré un peu parce que je ne savais pas par où commencer. Pas mal de trucs me tentaient, sauf peut-être de l’embrasser. Oui, non, l’embrasser, ça ne me disait trop rien. Peut-être à cause des dents ? J’hésitai.
J’aurais aimé la culbuter directement sur cette longue table terriblement professionnelle, la mettre à poil, la sodomiser tout en la gratifiant de petits noms cochons. J’avais très envie de ça, mais je le constatais une fois de plus, ce n’est pas toujours évident de réaliser ses envies, comme ça, à brûle-pourpoint. Bon, j’ai quand même fini par lui rouler une pelle juste parce que c’était monouverture habituelle et que je ne savais pas comment démarrer autrement. Une fois lancé, de toute façon, tout passe, ou pas loin. Rapidement, j’ai déboutonné son pantalon : ça, c’est un bon moment ! J’avais d’ailleurs une énorme érection, presque douloureuse, impressionnante. Puis je glissai prestement ma main dans sonslip brésilien, le fameux, jusqu’à atteindre son pubis. Elle n’avait pas beaucoup de poils, d’après ce que je pouvais sentir, ce qui se révéla ensuite visuellement exact : une coupe soignée, étroite, comme si elle avait prévu son affaire.
Mes doigts se faufilèrent encore un peu plus bas. Sa vulve était déjà bien humide, ce qui est toujours agréable : j’imaginais aisément qu’elle n’avait jamais dû connaître une situation aussi excitante. Peut-être ...