1. Le romantisme n'est pas mort (il dort) (1)


    Datte: 07/11/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Strangemax, Source: Xstory

    Tout a commencé quand j’ai aperçu le string qui dépassait de son pantalon, alors qu’elle était assise à la terrasse de ce resto minable. Elle mangeait de la pastèque, il me semble, avec les doigts, comme dans un western. Enfin, ce n’était pas exactement un string, d’ailleurs, c’était plutôt une sorte de brésilien, très suggestif. Il paraissait à vue de nez être à moitié transparent, pas complètement, mais sans doute assez pour voir les poils pubiens au travers, par exemple, le dessin de ses petites lèvres, même, sûrement. J’imaginais tout à fait ce que ça pouvait donner en la débarrassant mentalement de toutes ses autres fringues, parfaitement superflues. En même temps, je me disais, sans raison valable, je le reconnais, qu’il devait être parfait pour être arraché avec les dents.
    
    Une heure après, l’imprimante de l’étage souffrait de son sixième bourrage papier de la journée et, chemin faisant, je me retrouvai fortuitement avec elle dans l’ascenseur de droite de notre lieu de travail. Je constatai rapidement que la tension sexuelle créée en moi par la vision fugitive de sa lingerie affriolante n’était pas encore tout à fait retombée. Un instant, j’ai hésité à lancer la conversation sur les trois métamorphoses de l’esprit, de Nietzsche, et puis je me suis dit qu’elle n’était sans doute pas très intelligente, ni guère cultivée et que tout ceci ne nous mènerait donc pas bien loin. Elle aurait pu même avoir l’impression que je me foutais de sa gueule, chose qui arrive souvent ...
    ... dans le monde réel quand on essaye de lancer une conversation d’un niveau intellectuel à peu près acceptable.
    
    Bon, du coup, j’ai opté pour une approche pleine de finesse, du style : « dis donc, t’as fait péter le string aujourd’hui ! » (alors même que j’avais tout à fait conscience qu’il ne s’agissait pas d’un string, stricto sensu). Là-dessus, elle a fait semblant d’être choquée, alors qu’elle était juste vaguement étonnée, en même temps que flattée par le fait que je puisse m’intéresser à la vie trépidante de ses petits dessous. Pourquoi être flattée qu’un mec comme moi s’intéresse à ce qui se rapporte quand même de manière assez directe à son cul ? - je ne saurais vraiment pas l’expliquer, tellement cela me semble absurde. Mais peu importe. Sans doute, a-t-elle senti à ce moment-là le contact du tissu sur sa vulve, entre ses fesses. Finalement, elle a pouffé et ses pommettes ont un peu rosi. Dès lors, je savais qu’elle n’aurait probablement rien contre le fait que je glisse ma bite dans ses différents orifices.
    
    Je pouvais même, sans trop m’avancer, avoir la certitude que je n’aurais pas trop à insister pour qu’elle me lèche le gland. Comme nous nous en étions tenus jusque-là à des rapports professionnels assez distants, cela faisait quand même une belle évolution, dans un temps assez court.
    
    Même si son visage ne portait aucun défaut évident, on aurait du mal à qualifier B debelle femme. Néanmoins, il me semblait que ses traits avaient plutôt tendance à s’affiner ...
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