1. C'est le Pérou !


    Datte: 07/11/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail voyage, noculotte, Oral fouetfesse, Humour Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... dessus, sur les côtés, enfin, moi je ne sais pas, ma tête ne sait pas, c’est mon majeur qui sait, et mon corps qui s’adapte, en fonction des réactions du sien. Elle se laisse visiblement faire, elle a mis ses mains au-dessus de sa tête. Je descends mon doigt, je m’introduis, elle est mouillée, je m’enfonce, elle gémit, j’insiste un peu, je cherche le point G, mais elle referme ses cuisses :
    
    — Remonte ton doigt, maintenant, fais-moi jouir.
    
    Je ne peux pas résister, je m’exécute. Maintenant, j’y vais plus fermement, je la branle, je la branle. Elle ne tarde pas à se tendre et à crier un peu, elle jouit. Sans attendre, je me redresse, je place mes genoux entre ses cuisses, et elle me dit :
    
    — Que fais-tu ?
    — À ton avis ? Je te baise, c’est la leçon 2.
    
    Petit sourire, que je devine, elle m’attrape, et elle me fait entrer. Elle écarte encore plus les cuisses. Je m’enfonce. Quelques allers et retours, histoire que sa chatte s’habitue bien à ma queue, et de voir comment Clotilde réagit ; ça a l’air d’aller, de lui plaire. Encore quelques petits allers et retours, c’est bon. Puis je passe mes jambes à l’extérieur des siennes et je lui referme les cuisses avec mes genoux, tout en restant profondément enfoncé en elle, ça a toujours l’air de lui aller, super. Je suis appuyé sur les coudes. Ma tête juste au-dessus de la sienne. Avec notre différence de taille, ma bouche est au-dessus de son front. Je lui fais une bise sur le front. Elle sourit. J’ajoute :
    
    — Oui, j’ai ...
    ... besoin de tendresse. Je suis un grand sentimental, en fait.
    
    Elle sourit encore :
    
    — Baise-moi fort, j’ai envie.
    
    Je me redresse, je remets mes genoux à l’intérieur des siens, je fais bien attention à être bien au fond et doucement, j’avance mes genoux, tout en lui écartant les cuisses, et en les relevant. Elle réagit bien. Je lui murmure :
    
    — Surtout, si tu as envie de te toucher, n’hésite pas.
    — Non, non, je t’écoute. J’écoute ton corps, j’écoute ta queue.
    
    Alors, je lui relève les jambes, j’attrape ses cuisses et ses mollets, et je pose ses chevilles sur mes épaules, et je la baise encore plus fort. J’augmente un peu le rythme, sa respiration s’accélère, elle ouvre la bouche, elle a l’air d’aimer, et tout d’un coup :
    
    — Je jouis, je jouis, je jouis.
    
    Je la lime encore un peu, puis je la sens se détendre et je lui redescends les jambes. Elle a les yeux clos. Je sens qu’elle a bien joui, qu’elle savoure. Je ne veux pas en rester là. Je recommence à la limer, en profondeur, enfin, autant que ses jambes serrées le permettent. Je m’enfonce, visiblement, ça la réveille, si j’ose dire. Et là, hop, je reprends ses mollets, je remonte ses jambes, et je remets ses chevilles sur mes épaules. Elle a compris, elle accompagne mes gestes en soulevant ses fesses. Je m’enfonce très profond, je la baise fort, elle jouit de nouveau. Je descends ses jambes, je l’allonge, je suis prêt à recommencer. Elle ouvre les yeux et me regarde et me dit :
    
    — Non, maintenant, j’en peux plus, ...
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