1. La déchéance d'Hélène 02


    Datte: 06/11/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAstarouge, Source: Literotica

    ... l'honneur de faire la putain sur le trottoir pour moi, tu vas rester 3 jours ici, pour t'apprendre la discipline. T'aura le droit à 4 heures de sommeil. Le reste du temps, ton seul devoir sera de maintenir tes cuisses de pute bien ouverte »
    
    Je ne répondis même pas, résignée...
    
    30 minutes pile plus tard, mon premier violeur rentrait, un black titanesque, mais mal membré par rapport à sa taille. Il m'allongé sans aucune difficulté, et ne fit aucun effort pour me rendre cela agréable. Il me pénétra avec brutalité et commença instantanément son va et vient, et moins de 10 minutes après, se déversa les couilles dans ma chatte. Je me recroquevillais sur moi-même, mais il y avait déjà un autre male, je tentais inconsciemment de resserrer mes cuisses, mais face à la force de l'homme, je ne pouvais lutter longtemps, il profita de ma jeune chatte encore moins longtemps que le précédent, mais m'éjacula sur le visage.
    
    Les hommes enchaînèrent à la queue le leu, pour mon plus grand supplice pendant une vingtaine d'heure. Je ne luttais plus, j'ouvrais ma bouche pour qu'on me baise la bouche, mes cuisses toujours écartées. De temps en temps, un des hommes me retournait pour m'enculer sauvagement.
    
    Du foutre était rependu partout a l'intérieure et sur moi, mais après les 10 première heures de viol, je ne faisais même plus attention.
    
    A 4 heures du mat, Vincent arriva. Je me précipitais, pleine de sperme, dans ses bras :
    
    « Pitié, Vincent, sortez-moi de la, pardonnez-moi, je ...
    ... ferais tout ce que vous voulez, mais plus ça! je serais votre pute, je ferais le trottoir quand vous voulez, je vais mourir si vous me laissez la encore deux jour, pitié..."
    
    Mais non, ne t'inquiète pas. Je suis juste venu là pour te laver et te nourrir, je ne transige jamais sur les châtiments"
    
    "Pitié...."
    
    Ferme la parce que sinon je te fille rien à bouffer »
    
    Je dormais pendant les 3h30 qui me restait. En fait, ce qui me réveillât, c'est une bite se frayant un passage dans ma gorge, je ne luttais pas, et il se vida avec plaisir dans ma bouche.
    
    Les viols recommençaient, sur un rythme soutenu. J'avais longtemps perdu le compte, mais j'étais leur paillasson à bite. Parfois il me semblait reconnaître un homme de la veille, mais ils étaient tellement nombreux que je n'étais jamais vraiment sur. J'étais par ailleurs épuisé, et je m'endormais régulièrement, même pendant qu'un homme me pénétrait. Cela n'avait pas l'air de les gêner plus que cela.
    
    Je ne sentais plus rien, juste mon corps qui vibrait au rythme des coups de reins des males divers et varié qui profitèrent de mes trous.
    
    Quand Vincent revient pour me rincer de ma souillure, je ne dis rien, résignée, et prête, autant que possible à encaisser encore une journée complète de bite.
    
    Ce fut mon anus qui me réveilla, quand un rebeu visiblement bien monté forçait ma rondelle. Cette journée passa plus vite, car je dormais pendant une part non négligeable de ma prestation.
    
    Quand Vincent me récupéra, il me ...