1. Nos Belles Pyrénées (1)


    Datte: 04/11/2022, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... toi... Tu m’as plu dès que je t’ai vu et je suis depuis si longtemps sans amour.
    
    Je sentais son désir tout contre moi, la barre de son sexe incrustée sur mon ventre, ses mains pétrissant mes fesses. Une seule alternative... Soit fuir en courant, soit me laisser aller et m’offrir au désir de cet homme, si viril et si puissant.
    
    J’ai accepté son baiser, ma main parcourant son torse hyper-velu en le découvrant peu à peu, jusqu’à un caleçon hyper-rempli, d’où une énorme touffe de poils émergeait, remplie d’une odeur si masculine.
    
    Empli de ces saveurs si viriles, mes mains ont descendu ce rempart de tissu et mis à nu ce sceptre qui fait la fierté de l’homme. Il n’était pas super long, mais quand même... Je vais dire entre 18 et 19 centimètres, mais en revanche, hyper épais, d’un diamètre peu commun, reposant sur des couilles hyper-grosses, bien velues. C’était le vrai mâle Pyrénéen à l’état pur.
    
    Je me suis mis à genoux, pour caresser ce magnifique pieu poilu qui prenait de l’ampleur à chacune de mes caresses en approchant mes lèvres pour en déguster les saveurs. Sa largeur m’a empêché d’aller trop loin, ma bouche distendue ne pouvait qu’en absorber la moitié, et en quelques minutes, il s’est déversé en moi, à longs jets qui ne semblaient pas se ...
    ... tarir, tellement son désir était puissant et lointain.
    
    Sage depuis mon retour, j’étais trop heureux de donner à nouveau du plaisir à un homme, surtout aussi viril que lui. Son sexe me paraissait magnifique, pas aussi long que celui de Khaled, mais aussi large, voire davantage avec des couilles encore plus volumineuses, le tout, bien entouré d’une énorme touffe de poils dégageant une odeur de mâle, de testostérone qui me montait à la tête, le mâle à l’état brut.
    
    Depuis que j’étais rentré en France, anxieux quand même, j’avais effectué plusieurs tests, à trois reprises à deux mois d’intervalle, pour être sûr d’être clean, de ne rien avoir choppé lors de mes débordements sexuels au Maroc... Par chance, tout était négatif...
    
    En reprenant un autre café avec Laurent, il m’avait enfin dit son prénom, je me suis senti à l’aise avec lui, cet homme si simple et si gentil. Mais je voyais aussi la bosse entre ses jambes se reformer, sa salopette, pourtant ample, ne pouvait pas cacher cette « toile de tente »
    
    — Viens dans ma chambre... Je n’ai plus fait l’amour depuis presque 3 ans et j’ai trop envie de te prendre.
    
    — J’ai envie de toi aussi, Laurent.
    
    — Je vis seul avec mon frère depuis toujours, dans la ferme de nos parents, et ce n’est pas facile. 
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