Les Voisins
Datte: 04/11/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... Je ne l'avais pas pris assez profondément, alors ce que j'ai reçu a débordé de ma bouche, coulant sous mon menton et sur mes vêtements.
Je gargouillais, suffoquais, sous le regard narquois et méprisant de ma douce et tendre épouse. Un sourire tordu sur les lèvres, elle m'a apostrophé :
«C'est quoi ton problème, puceau? T'arrive pas à sucer sa grosse bite proprement?»
«Moi, je ne l'ai fait que sous la contrainte!»
«Ah, ouais, d'accord. Tu t'es défendu comme un lion pendant une demie seconde, et tu veux me faire la morale. J'ai vu à quel point tu avais faim, quand tu t'es jeté dessus. Ne me mens pas, petite fiotte!»
Je me sentais comme une merde, devant les regards dépourvus de complicité ou de sentiment de mes tortionnaires et les critiques infondées de ma chère épouse. Je reniflais, bavais et sanglotais, submergé par ce déluge de sperme. Je ne présentais pas l'image du mâle viril, mais pourquoi me traiter aussi mal?
Le père m'a tapoté la tête avec condescendance : «T'inquiète pas, gamin, je connais des tas de mecs qui aimeraient se faire sucer par ta savoureuse bouche de petite salope.»
Les trois salopards se marraient devant ma mine déconfite, mais le pire, c'est que Bérengère se marrait avec eux. Cramponnée à la grosse bite de Jacques, avec Charles pendu à ses mamelons, elle se sentait forte. Méchamment, elle a insisté :
«Une bonne petite suceuse, une petite salope à la bouche savoureuse, je l'ai toujours su! Plus question de planter ta petite queue ...
... d'écrevisse dans ma moule. Désormais, c'est réservé aux hommes, aux vrais. Tu ne pourras t'en approcher qu'avec ta langue, puisque tu es si bon pour sucer. Après que les hommes m'auront remplie de leur crème épaisse, tu viendras faire le ménage, comme un bon toutou!»
«Non?» s'étonnait le père. «Tu interdis l'accès de ta chatte à ton mari, et il accepte?»
Bérengère s'est esclaffée : «Dorénavant, pour vous trois, c'est porte ouverte. Quand vous voulez. Lui, il aura les miettes, le boute-en-train, celui qui émoustille la femelle et laisse la place toute chaude aux mâles, aux vrais! Il aura le privilège de lécher ma chatte pour me nettoyer après votre passage, lorsque vous m'aurez bien labourée avec vos grosses bites!»
«Il ne sera pas trop à plaindre, cela arrivera environ ... chaque jour!» estima Charles.
Ma vie future se déterminait devant moi. Bérengère, que je chérissais plus que tout, me répudiait. Submergée de désir charnel, promise aux prouesses sexuelles des voisins. J'ai essayé de la raisonner, mais elle m'a coupé la parole.
«Écoute-moi, je t'explique comment ça va se passer. Tout d'abord, j'appartiens aux Gouilloud, maintenant. Je ne me contenterai plus, à l'avenir, de tes coïts furtifs et sans saveur. Je me tiendrai accessible à mes amants, et pour tous les mâles bien montés qui voudront forniquer avec moi. Toi, on t'installera un lit de camp dans ton bureau. Tu te tiendras disponible envers mes amants et moi-même. Ceci devrait ravir une poule mouillée ...