1. Les Voisins


    Datte: 04/11/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... il pourra rivaliser avec n'importe quelle salope. Allez, viens, assez discuté!»
    
    Entre les deux pièces, des sons similaires se répondaient, comme un écho. Mais les sons émis par ma femme étaient entrecoupés de ronronnements et de soupirs. Tandis que de mon côté, les bruits de succion s'accompagnaient de gargouillis dû à l'étouffement et à la nausée.
    
    Après quelques minutes, le père m'attrapa par la tignasse pour me forcer à lever les yeux vers lui.
    
    «Écoute, petite fiotte. Tu n'es pas assez concerné. Tu rêvasses, tu suçotes, ça ressemble à rien. On va aller les rejoindre à côté, de voir ta femme à l'œuvre, ça va te motiver!»
    
    Il a ressorti sa bite de ma bouche avec un son humide. Il avait toujours ses doigts agrippés dans mes cheveux longs et me hissa sur mes pieds comme un sac de patates. J'ai hurlé, et des larmes ont jailli de mes yeux. Il m'a traînaillé en canard jusqu'à la pièce voisine. Le spectacle de ma douce femme agenouillée, torse nu, suçant goulûment l'organe dressé de Jacques, était horrible, insupportable.
    
    Sa bite était encore plus grande que celle de son père. Elle massait ses lourdes bourses en le regardant avec adoration. Charles m'a poussé à genoux à côté d'eux. Le père a tenu son membre rigide devant ma bouche. Je l'ai englouti.
    
    Ma femme avait le regard orienté dans notre direction. Elle a vu mon geste. À la noirceur de son regard, j'ai réalisé sa méprise. Elle s'imaginait que je faisais cela volontiers. Maintenant, elle était certaine que ...
    ... j'avais un penchant pour sucer la bite de ces brutes.
    
    Son regard furieux et méprisant s'est détourné de moi, elle a continué à travailler sur la virilité de Jacques, mais avec une vigueur renouvelée. C'était comme si elle entrait en compétition, pour me punir, pour montrer qu'elle m'était supérieure. Charles a lâché mon bras et j'ai pu, moi aussi, caresser le scrotum et le manche du père.
    
    J'étais incapable de sucer suffisamment profond sans déclencher un réflexe nauséeux, incapable de grogner et de gémir de plaisir comme elle, incapable d'avoir ce regard amoureux pour l'homme que je suçais. Son ardeur, sa féminité, tout me condamnait à la défaite.
    
    Le père a pris ma tête entre ses mains puissantes et a commencé à baiser ma bouche, poussant plus loin, plus fort, augmentant progressivement son rythme. Il souriait en violant mon visage.
    
    Jacques n'avait pas la résistance de son père. À ses mouvements saccadés, j'ai compris qu'il se vidait dans la bouche de ma femme. Elle a tout avalé. Elle avait un peu de mousse blanche à la commissures des lèvres, mais elle léchait, ravie, la grosse bite de l'aîné.
    
    Je ne parvenais pas à croire ce que je voyais du coin de l'œil. Bérengère se caressait le visage avec le pénis encore tendu de l'aîné, pendant que le cadet, à demi-vautré devant elle, lui suçait les nichons.
    
    Le père m'a donné quelques poussées impatientes de plus, et je ne pouvais plus m'intéresser à ma femme, parce que son sperme chaud et visqueux coulait dans ma gorge. ...
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