1. La cagole


    Datte: 01/11/2022, Catégories: fh, hplusag, extracon, fépilée, vacances, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, couple, Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe

    ... propose en plusieurs langues la pose expresse de piercings de nombrils. La boutique est vide de clients. Un type balaise en maillot de corps et en bermuda m’accueille. Je lui montre l’annonce. Je ressors dix minutes plus tard. Une petite tige en or terminée par deux billes de même métal traverse mon nombril.
    
    Je rentre à la maison.
    
    Assise à table, je suis incapable d’avaler quoi que ce soit.
    
    — Tu n’as pas l’air dans ton assiette, me dit Jacques, inquiet.
    — C’est vrai, je suis un peu barbouillée. Je crois que je vais faire l’impasse sur la plage cet après-midi. Mais j’irai quand même faire un tour dans les boutiques, histoire de rapporter quelques petits cadeaux pour la famille.
    — Comme tu voudras, mon cœur.
    
    En me voyant prête à partir peu après 14 h 30, Jacques me fait une remarque amusée.
    
    — Eh bien dis donc, toi qui étais si réticente pour porter une chaîne de cheville, te voilà prête à sortir avec une tenue à faire bander un mort.
    — Ça t’embête, mon chéri ?
    — Tu plaisantes ! Je t’ai assez cassé les pieds pour que tu acceptes d’être apprêtée comme aujourd’hui. Tu es tellement bonne. Je ne vais pas me renier maintenant que tu es convertie.
    
    Je quitte donc la maison certaine que mon mari ne s’est pas aperçu que je ne porte pas de culotte.
    
    Installée sur la terrasse du bar, je sirote nerveusement le café que je viens de commander. En me redressant, j’aperçois le type qui me regarde depuis le trottoir opposé. L’éclat de ses yeux m’aveugle jusqu’à ce qu’il ...
    ... tourne la tête et s’éloigne lentement.
    
    Je pose la monnaie sur la table et me lève afin de le suivre. Lorsque je le vois pénétrer dans un petit immeuble centenaire, je marche jusqu’à l’entrée. La grille ouverte me permet de découvrir le petit patio qu’il faut traverser pour atteindre l’escalier menant au balcon intérieur qui dessert les appartements de l’étage.
    
    Toutes les portes sont closes sauf la dernière située tout au bout qui est légèrement entrouverte. Je la pousse puis je la referme silencieusement derrière moi. Les persiennes fermées plongent la pièce dans une semi-obscurité.
    
    Un homme se tient debout sur une petite terrasse extérieure avec vue sur la mer.
    
    Le jeu des ombres me donne l’impression que sa tête est ceinte de deux magnifiques cornes de taureau. L’être entièrement nu me fixe avec son regard bleuté. Son sexe gigantesque pointe vers moi en tressautant imperceptiblement. Deux couilles lisses grosses comme des clémentines se balancent, solidement arrimées à la base du membre démesuré.
    
    Apis s’approche de moi et me déshabille. Je n’ai plus que mes chaussures et les bijoux offerts par Jacques quand je m’étends sur le lit. L’homme taureau me couvre et s’enfonce lentement dans mon intimité alors que mon cerveau s’embrase. Un orgasme inouï me submerge lorsqu’il me remplit entièrement.
    
    Mercredi
    
    Nous roulons vers Madrid. J’ai troqué mon uniforme de voyage habituel contre mes chaussures vernies à talons de 13 cm, un short minimaliste qui moule mon cul ...