1. Un jeune homme à la capitale (13)


    Datte: 31/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... prit ma verge dans sa main en riant :
    
    — Pas du tout. Mais si cela venait, je te promets que tu serais le premier à le savoir...
    
    Je pris cela pour un compliment. D’un geste affectueux, je la pris par ses hanches maigres et la fis se tourner.
    
    — Qu’est-ce que tu fous ? me dit-elle durement en se raidissant.
    
    — Tu m’as promis de me montrer ton tatouage en entier, c’est le moment.
    
    Je sentis qu’elle se décontractait. J’admirai le tatouage. La queue du dragon descendait jusque sur sa fesse gauche et finissait sur le haut de sa cuisse. J’en profitai pour regarder son cul qui était plat et osseux.
    
    Je m’extasiai :
    
    — Quel boulot ! Ça doit représenter des heures et des milliers de coups d’aiguille.
    
    — Tu l’as dit. Sur le haut, on peut voir les écailles de sa carapace.
    
    — Il est comme toi ton dragon, il se protège par une carapace.
    
    — Possible, mais la mienne est impossible à percer...
    
    Je pesai sur ses hanches, la faisant s’assoir sur mes cuisses. Elle se laissa faire, se penchant en avant pour faire le dos rond, ce qui mettait en valeur la finesse du dessin. ...
    ... Dans cette position, son sexe était posé sur le mien. Je suivais du doigt les contours du dessin frôlant au passage ses côtes saillantes et ses vertèbres proéminentes. Etait-ce ce que nous avions vécu avec Solange, l’étrangeté de la situation, la chaleur de son sexe sur le mien ? Toujours est-il que mon sexe commença à lentement reprendre des forces. Elle s’en rendit compte aussitôt. Elle se leva vivement, attrapa sa culotte qu’elle enfila en disant avec une gentillesse qui contrastait avec sa rudesse habituelle :
    
    — Bon on va arrêter l’étude de mes tatouages sinon tu vas t’exciter pour rien.
    
    — Tu as raison. Et puis on s’est déjà bien amusé avec Solange. Il faudra recommencer.
    
    — Pourquoi pas ? Mais il ne faut pas se faire pincer. La boîte n’aime pas ça.
    
    Elle rejoint son vestiaire alors que je me rhabillais. Nous nous retrouvâmes ensemble dans la petite cour. Il était 18h 30, Solange avait disparu. Nous échangeâmes son salut : tape dans les mains et choc des deux poings, phalanges contre phalanges. En nous voyant, qui aurait pu soupçonner ce que nous venions de vivre ? 
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