Mon ex belle-soeur (2) - Histoires de Sexe

Mon ex belle-soeur (2)

... poitrine alors que ma tige brûlante s’incrustait dans son ventre. Nous sommes restés ainsi un petit moment, nous imprégnant de la chaleur de l’autre. Ses mains se posèrent sur mes hanches pour me repousser en arrière puis en me regardant dans les yeux, elle se laissa glisser à mes pieds. Se saisissant de ma verge, elle examina ce morceau de chair sous toutes les coutures.

— Elle est grosse et plus longue que la normale, ça doit être très amusant de jouer avec.

— Oui, mais toutes les femmes n’aiment pas ça, et toi ?

— Moi je suis plutôt d’un naturel curieux, alors j’aime bien goûter avant de dire que je n’aime pas. Sur ce, sa bouche engama mon gland en refermant ses lèvres pour le garder au chaud, sa langue débuta une danse infernale à l’intérieur, elle était partout en même temps. J’avais l’impression que des milliers d’aiguilles piquaient le bout de ma queue. Sa main me branlait en même temps, je sentais déjà la jouissance qui montait.

— Doucement Brigitte, après une aussi longue abstinence, je pars au quart de tour.

C’est vrai tu as raison, je ne sais plus doser, je veux trop en faire. Mais n’empêche que j’adore sucer une grosse queue.

— Dis-moi tu es plutôt vaginal ou clitoridienne.

— A toi de le découvrir, ex-beau-frère.

— J’adore les jeux de piste, viens suis-moi.

Je l’emmène dans ma pièce que j’ai aménagée au sous-sol

— Oh, c’est ta petite garçonnière privée, c’est chouette et en plus il fait bon. Un lit !mais dis donc tu as pensé à ...

... tout.

— Je dors souvent ici quand il fait trop chaud à l’étage.

— Ou lorsque tu y emmènes une victime potentielle, dit-elle en riant.

— Il y a bien longtemps qu’il n’y a plus eu de victime ici, comme tu dis si bien.

— Donc je suis la première nouvelle victime des années 2000. Oh regarde il a dégonflé le pauvre, viens ici que je lui redonne de la consistance.

— Attends avant je voudrais te poser une question, uniquement pour que les choses soient claires entre nous.

— Ola ! Tu me fais peur, mais vas-y je t’écoute.

— Je vais être direct ; es-tu venue ici pour faire l’amour ou alors par sentiments.

— Ma réponse est, Gérard ; pour remplir mon ventre avec ta grosse queue et toi pour jouer avec mes grosses mamelles, c’est suffisant ?

— Sache que pour moi c’est exactement pareil, alors lâchons-nous et viens me sucer.

— Je vais la faire bander comme tu ne l’as plus vu depuis longtemps.

Léchage du gland, du prépuce, de la hampe, des couilles tout y passa. Ensuite sa bouche avala le gland, qu’elle avait pris soin de décalotter avec ses lèvres, plus rien ne bougea mis à part sa langue. Je me sentais durcir de plus en plus, pendant qu’elle m’infligeait ce traitement, une de ses mains s’attaqua à mes testicules, les triturant, les malaxant avec beaucoup de douceur. Après ça, elle me saisit par les hanches et entreprit de me faire une gorge profonde. Au bout de plusieurs essais, elle réussit à m’avaler en entier. Je n’en revenais pas, aucune femme ne m’avait ...