Mon ex belle-soeur (2) - Histoires de Sexe

Mon ex belle-soeur (2)

— On dirait que tu es totalement guéri Gérard, la grosse bête a retrouvé toute sa vigueur. Bon je crois qu’on va s’arrêter là. Il faut reconnaître que tu as vraiment un bel engin, dit-elle en fixant mon bas-ventre.

— Et toi une poitrine de rêve, il y aurait encore tant à faire avec.

— Ah bon, et quoi donc ? dit-elle curieuse.

— Je ne vais pas te le dire puisque tu veux qu’on arrête, je respecte ton désir, mais je te propose autre chose.

— Ah et quoi donc ?

— Ici il fait une chaleur à mourir, c’est vrai que ça n’encourage pas à faire de l’exercice physique. Voilà ma proposition, je ne sais pas si tu en as envie autant que moi, mais chez moi au sous-sol il fait beaucoup plus frais, en plus il y a une pièce aménagée où je me réfugie lorsqu’il y a des chaleurs comme en ce moment. On serait tranquille, comme je vis seul aussi. Tu es tenté ?

— Je ne sais pas, je n’avais pas prévu de coucher avec toi.

— Tu crois que moi j’avais prévu en venant ici. Nous sommes des adultes qui pourrions passer un bon moment ensemble, en ne faisant du tort à personne. Si tu ne viens pas, il me restera au moins le souvenir de ce que je viens de vivre. A plus tard Brigitte.

— Peut-être, merci pour le dépannage Gérard.

Toute l’après-midi j’ai attendu sur elle, mais point de Brigitte à l’horizon. Pourtant en la quittant, j’étais pratiquement sûr qu’elle viendrait. Après tout, j’avais eu ce que je voulais, donc je n’allais pas me plaindre en plus. Elle m’a rendu un fier service ...

... en me faisant découvrir que je pouvais à nouveau bander, ce qui allait contribuer à élargir mon horizon social. Le lendemain, contrairement à mon habitude, j’avais décidé de flemmarder au lit en compagnie de mon érection matinale.

Tout à coup, la sonnette de la porte d’entrée retentit, je me levais en vitesse pour ouvrir la petite lucarne, dans un premier temps pour voir le visage de l’importun qui me dérangeait de si bon matin.

— Bonjour Gérard, on dirait que je viens de te tirer du lit, je peux entrer ?

— Brigitte !!, oui oui bien sûr, sans réfléchir je lui ouvre la porte. C’est une fois entrée en voyant son regard que je me rappelle que je suis en slip. Le problème est que celui-ci est complètement distendu par mon érection.

— Tu devrais l’enlever, il est un peu à l’étroit là-dedans, dit-elle en montrant mon slip du doigt.

— Tu, tu, crois ! dis-je bêtement.

— Je ne crois pas, j’en suis sûre.

J’enlevai donc le dernier rempart de civilisation pour me retrouver nu comme un ver devant Brigitte avec ma colonne de chair dressée vers le ciel,

tout en parlant, elle enleva son haut pour se retrouver seins nus devant moi.

— Voilà Gérard, nous sommes à égalité encore une fois.

— Pas tout à fait Brigitte, tu as encore le bas.

— Oups ! c’est vrai.

Sans hésitation, elle enleva le reste. Sa poitrine était vraiment disproportionnée par rapport au reste de son corps. Je la pris de suite dans mes bras pour l’attirer vers moi. Ses seins écrasés contre ma ...