1. Leila , moi et notre mentor (8)


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Gay Auteur: steve1993, Source: Xstory

    ... quatre pattes, les cuisses collées contre les siennes, sa queue entre mes fesses humides de sa salive. J’eus un flash, voyant Leila dans la même position, mais très vite, c’est l’image de ma mère qui reprit le dessus.
    
    Sa barre glissait dans ma raie, de bas en haut, une main caressant mon dos de façon appuyée, comme pour me creuser les reins et me soumettre à sa prise.
    
    — Tu es prête ma chérie ? Je vais entrer doucement pour que tu t’habitues. Il avait utilisé le féminin, je répondis de la même façon.
    
    — Oui, prends-moi mon amour, comme aurait pu dire ma mère.
    
    Je sentis le gland sur mon trou, l’élargir, puis rentrer d’un coup. Ce qui me procura une douleur aiguë et me fit avancer un peu. Il ne bougea pas et caressa mes fesses de façon circulaire, ses pouces autour de mon anus, écartant encore, puis commença à rentrer doucement.
    
    — Aaarrrrhhhhh ! J’empoignai les draps, et collai ma tête sur le lit. J’avais le cul encore plus écarté et plus relevé. Toujours avec ses grosses mains empoignant mes miches blanches et imberbes, il commença à aller et venir. Un frisson partit de mon coccyx et remonta jusqu’à ma nuque, c’était énorme comme sensation. Je me sentais ouvert et embroché comme un goret.
    
    Quel délice d’être enculé par ce mâle qui me besognait méthodiquement ! J’avais envie qu’il accélère, qu’il m’encule !!
    
    Je gémissais de plus en plus fort, ajoutant des "oh oui, oh oui", pour l’encourager et lui faire comprendre que j’aimais ça. Chaque mouvement créait une ...
    ... nouvelle sensation. A chaque fois qu’il tapait au fond, nous poussions un "han !! " de concert. J’aimais trop ça. Je voulais être à lui, qu’il me baise toute la nuit.
    
    Il me retourna sur le dos, et toujours debout, il mit mes jambes dans le creux de ses bras, et joignit ses mains dans mon dos, me souleva comme une plume, et tandis que je l’attrapais par le cou, il m’empala.
    
    Je le fixais du regard, pendant qu’il me faisait monter et descendre, c’était encore meilleur !
    
    — Oh oui !! Vas-y, baise-moi, baise-moi, oh oui, c’est trop bon, n’arrête pas !!! Je devenais hystérique ! Sa queue me rendait hystérique !! Il me lima quelques minutes, et me sentant jouir du cul, un truc improbable se produisit : je me mis à pisser. Un jet saccadé qui fusait dès qu’il poussait et s’estompait dès qu’il ressortait. Je hurlai ma jouissance anale en lui arrosant le ventre. Cela le fit accélérer et m’envoyer des coups encore plus forts, limite violents, mais j’encaissai comme si j’avais l’habitude, avec des "shlok, shlok" sonores, témoins de la dilatation et l’humidité de cet anus, devenu ce soir un trou à bite. C’est dans un hurlement rauque et animal qu’il se répandit dans mon cul, en me serrant contre lui à me briser les côtes. Il s’empara de ma bouche et m’embrassa langoureusement, comme Leila le faisait.
    
    Il me déposa assis sur le bord du lit, le visage en face de sa bite en berne. Elle était luisante de sécrétions, mais pas sale. J’avais confiance en son lavement, alors je la pris ...