1. Leila , moi et notre mentor (8)


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Gay Auteur: steve1993, Source: Xstory

    Il ouvrit la porte de sa chambre et alluma la lumière, puis sa grosse main posée sur mes fesses me poussa dans la pièce. Et là, ce fut le choc !! Son lit était exactement le même que celui dans lequel je dormais avec ma mère quand j’étais enfant. Un grand lit deux places encadré d’une tête de lit arrondie et assez haute, en bois vernis, et d’un pied identique en plus bas. Exactement le même !! Je n’en croyais pas mes yeux. Etait-ce un rêve ?
    
    — Bachir...
    
    — Oui mon chéri ?
    
    — Tu as le même lit que ma mère. Il éclata de rire et toujours en se tordant, répondit :
    
    — C’est normal, c’est elle qui me l’a donné, et tu étais présent le jour ou je l’ai emmené.
    
    — Ah bon ? C’était il y a longtemps, parce que je ne me souvenais plus que c’était toi.
    
    — Oui, elle voulait s’en débarrasser, et vu qu’à cette époque, nous étions très amis, elle me l’a donné quand elle a changé le mobilier de sa chambre.
    
    — Vous n’êtes plus amis ? Je me souviens vaguement t’avoir vu quelques fois, mais je ne me souciais pas des fréquentations de ma mère.
    
    — Nous étions intimes et pour être franc, c’est aussi ta mère qui a laissé la poire à lavement chez moi. Je ne connaissais pas cette chose avant.
    
    — Quoi ???? Bachir venait de me suggérer qu’il avait enculé ma mère ????
    
    De honte, je me jetai à plat vente sur le lit et enfouis mon visage sous mes bras.
    
    Bachir s’allongea près de moi, et me caressant de sa main bouillante le creux des reins, il me chuchota :
    
    — Ça te choque ? Nous ...
    ... étions amants.
    
    Et tout en me caressant délicatement les fesses, il commença le récit de leur liaison.
    
    Il me parla de leur rencontre, quand il était arrivé du Maroc et avait pris le job de gardien d’immeuble, me raconta leurs premiers échanges courtois dans la cage d’escalier, puis les coups de main qu’il lui avait donné pour repeindre la cuisine... Mais je me foutais de tout ça. Je pensais seulement au fait que comme moi, elle s’était trouvée là, nue, et avait sûrement sucé comme moi ce gros mandrin marocain, et qu’elle l’avait pris dans son gros cul. Je bandais si fort de l’imaginer couinant, à quatre pattes, en train de se faire défoncer. Elle si froide et pudique, venant se faire baiser par cet étalon, aussi baraqué que vicieux.
    
    Sa main passait et repassait dans la raie de mes fesses, et son majeur appuyant sur ma rondelle à chaque passage me faisait relever le cul pour accentuer la pression sur mon trou. Il embrassait mon dos, tandis que je le sentis glisser vers le bas. Il ne parlait plus, embrassait et léchait le creux de mes reins, puis je sentis ses deux mains écarter mes fesses et son visage plonger contre mon cul. J’avais les jambes serrées et le cul écarté. Il me léchait l’anus, sa langue tantôt plate appuyant, tantôt pointue s’enfonçant me fit gémir et réclamer son chibre.
    
    — Tu m’excites trop Bachir, prends-moi !!!! Baise-moi comme ma mère !
    
    Sans un mot, il glissa hors du lit, se mit debout, et me tira violemment par les hanches. Je me retrouvai à ...
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