1. Les Contes de Perpornault (2)


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Ouiiiiiii, c’est bon, je viens, je viens raaahhh ! Ooooooh... Je jouiiiis...
    
    Et il expulsa un gigantesque jet de sperme, suivi par beaucoup d’autres. La bouche en fut remplie, mais il en eut sur tout le visage.
    
    La fille se rhabilla après s’être débarbouillée.
    
    — Tu préfères ma bite ou celle de ton père ?
    
    — Je sais pas... faudrait comparer.
    
    — Reviens nous voir. On lui demandera. Vu qu’on connaît votre petit secret, il pourra pas nous refuser, dit l’aîné en ricanant.
    
    — En tout cas, c’est plus rigolo à deux.
    
    Elle les quitta en promettant de venir souvent les réconforter sur leur lieu de travail. En la regardant s’éloigner et dandiner son petit cul, les deux frérots se promirent de la revoir.
    
    — Putain, qu’elle est chaude !
    
    — Quelle suceuse, bordel, quelle suceuse ! Une bouche... une ventouse... un aspirateur à jus...
    
    — Quel gros porc son paternel ! Baiser sa fille !
    
    — Si j’avais une fille comme ça, je la baiserais aussi... d’autant qu’elle aime ça.
    
    — Oui... et maintenant qu’on le sait, il pourra pas refuser qu’on y aille.
    
    — Et on n’aura même plus besoin de se cacher pour sauter sa femme...
    
    Elle était déjà loin qu’ils faisaient encore des plans sur la quéquette... Quant à elle, levée déjà depuis un long moment, elle eut faim. Bouffer de la teub lui avait ouvert l’appétit et le sperme, qui avait laissé un voile gluant dans sa bouche, lui avait donné soif.
    
    Elle s’arrêta donc et sortit, ce que sa maman lui avait préparé. C’était une belle ...
    ... tranche de pain avec une énorme saucisse grillée, froide, graisseuse et toute dure, accompagnée d’un pichet d’eau.
    
    Elle allait la dévorer quand elle s’aperçut que ce serait sec. Elle se souvint que son père lui disait souvent : "Attends, je me la trempe dans ta chatte, elle serait moins sèche dans ta bouche" ! Et c’était vrai.
    
    Elle s’enfila donc la saucisse dans le con, et y trouva un véritable plaisir. Elle l’en sortit et vit que le bûcheron y avait laissé une belle quantité de foutre. La charcutaille en était couverte. C’était vraiment délicieux.
    
    Elle se fit donc longtemps jouir avec son repas avant d’avaler ce nouvel amant bien docile et se promit d’agrémenter le prochain voyage avec un concombre.
    
    Mais à force de se faire baiser par les bûcherons et de se goder avec de la charcuterie, elle avait pris beaucoup de retard. Le soir tombait. Elle hâta le pas.
    
    Comme elle s’approchait d’un calvaire, elle y rencontra deux moines sexagénaires. Sexagénaires, pas si sûr, sauf pour la première syllabe.
    
    Les deux compères s’en revenaient d’une inspection dans un prieuré et retournaient à l’abbaye. Comme ils s’étaient disputés sur le trajet à propos d’un quart de fromage mal partagé pour leur repas, ils avaient entrepris une démarche de pardon, qui les avait conduits à un 69 fort peu évangélique, mais très fraternel. Comme ils se mangeaient la bite réciproquement en oubliant ainsi leurs griefs, ils avaient entendu notre héroïne qui s’approchait en chantant à tue-tête une ...
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