Les Contes de Perpornault (2)
Datte: 30/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Il était une fois, dans une très lointaine contrée, un bûcheron qui avait épousé une bergère. Ils eurent pour enfant une fille qui avait une tache de vin toute ronde et d’un rouge si vif juste au-dessus de la raie qu’on l’appela très vite dans la contrée, la petite chatte au rond rouge.
Quand elle eut atteint dix-huit ans, les gars du village venaient, à la nuit tombée, épier par la fenêtre son coucher et le moment béni où elle se déshabillait. L’un d’eux avait pris soin de piquer les persiennes et comme il n’y avait pas de rideaux, on se rinçait l’œil gratis.
Ce n’était d’ailleurs pas que la fascinante tache rouge au beau milieu de la magnifique toison blonde qui attirait les gars. La fille avait aussi un cul magnifique, elle était svelte et arborait une magnifique paire de nibards, très ronds, très gros et très fermes auxquels on ne résistait pas. Elle avait déjà provoqué bien des érections dans le pays.
Fatiguée d’avoir à laver les traînées de foutres qui recouvraient les carreaux tous les matins, la mère avait proposé au père de prendre sa fille dans la chambre avec lui tandis qu’elle dormirait à la place de leur enfant. Cela découragerait les vicieux, disait-elle, et elle n’aurait plus besoin de faire les carreaux tous les matins.
De fait, dès le lendemain, elle avait fait remarquer au père qu’il n’y avait plus une trace de sperme sur les vitres. Elle avait juste oublié de préciser que, étant elle-même encore bien roulée, n’ayant que 36 ans, elle avait ouvert ...
... la fenêtre et pompé les bites des voyeurs qui revinrent du coup chaque soir en plus grand nombre.
Un jour, elle dit à sa fille :
— Tiens, feignasse ! Va porter ce petit pot de beurre chez ta mère-grand.
— C’est du beurre ça ? Il est bizarre. Pourquoi t’y vas pas toi-même ?
— Discute pas ! Vas-y ! J’attends l’électricien.
— Mais je ne suis pas prête !
— M’en fous ! Grouille.
— Mais ça va me prendre toute la journée.
— J’t’ai mis un casse-croûte dans le panier. Allez, dégage.
La petite chatte au rond rouge partit donc rapidement, assez court vêtue d’une petite jupe au ras de la joie de vivre et, comme dans sa précipitation, elle avait oublié sa culotte, le vent mettait à l’air fréquemment cet objet du désir. Chaque mâle qu’elle croisait se détournait sur son passage et en était réduit à une bonne branlette.
Peu après être entrée dans la forêt, elle croisa le loup. Un loup jeune et gigantesque qui eut tout de suite l’envie de la mettre à son tableau de chasse. Il n’en eut cependant pas le loisir, entendant les bûcherons tout proches. Mais il put quand même lui demander où elle se rendait.
— Chez ma mère-grand.
— Où habite-t-elle ?
Et il détala aussitôt le renseignement pris, car les bûcherons arrivaient.
C’était justement son père accompagné de ses deux collègues, les frères Dugland.
— Tiens ma chérie ! que fais-tu là ?
— J’vais chez mère-grand, lui porter un petit pot de beurre.
— Elle saura quoi en faire ! ricanèrent les deux ...