Moi paysanne maîtresse du sexe (12)
Datte: 28/10/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... nous coucher, faire l’amour et dormir enlacées.
Le lendemain, Britney et Nancy viennent nous réveiller, elle inaugure une nouvelle méthode. Comme nous sommes nues sur le lit, sans drap sur nous, elles se mettent entre nos jambes et posent leurs bouches sur nos sexes et commencent à nous lécher la vulve, je me réveille comme si j’étais dans un nuage, mon corps me transmet des ondes de plaisir, je présume qu’il en est de même pour Charlotte, je ne veux rien faire qui puisse interrompre ce moment de bonheur, je laisse monter en moi cette onde de plaisir qui, je le sais, va me faire exploser dans un univers de plaisir. La main gauche de Charlotte me serre la main droite, elle est de plus en plus puissante, elle finit par me faire mal quand elle jouit, ce qui déclenche mon propre orgasme.
Elles nous laissent revenir à nous, Britney pose ses lèvres sur tout mon corps, du mont de Vénus aux seins, je redescends sur terre lentement, avec ce message de plaisir, ces lèvres qui te donnent du plaisir juste en se posant sur ta peau, un vrai miracle. Quand je suis capable de me lever, elle m’aide, elle m’enlace en collant sa peau contre la mienne.
— Bonjour madame, vous avez bien dormi ?
— Très bien Britney, mais surtout, j’ai eu un réveil magnifique, vivement que ça recommence.
— Je ne vois pas pourquoi ça ne se reproduirait pas, madame, j’y veillerais.
Nous allons prendre notre bain, puis, crémage de peau et jouissance, comme tous les jours. Charlotte a demandé à Jim ...
... et Andrew de nous faire un lit spécial, ils nous l’ont promis pour dans une petite dizaine de jours. Nous passons la journée à nos occupations traditionnelles, après le dîner, nous discutons au coin de la cheminée jusqu’à ce que Dorothy vienne nous voir.
— Tu voulais me voir Charlotte ?
— Oui Dorothy, je voulais te demander de garder Alice un soir où j’aimerais faire une fête dans nos appartements.
— Une fête comment ?
— Entre femmes, tu t’en doutes bien.
— Et ça se passerait quand ?
— Le vingt-huit octobre.
— Et pourquoi cette date ?
— Parce que c’est l’anniversaire de Marie.
— Eh bien, le vingt-huit octobre, je m’occuperais de ta fille, à une condition.
— Laquelle ?
— Que tu m’expliques pourquoi elle ressemble plus à Marie qu’à toi, sachant que tu avais fait un mariage arrangé qui, à ma connaissance, n’a jamais été consommé.
Charlotte blêmit, elle me regarde, c’est la première fois que je la vois complètement désemparée. Je vois qu’elle ne sait pas comment se sortir de cette situation sans avouer la vérité. Dorothy vient vers elle et l’enlace.
— J’ai bien réfléchi, et je crois que j’ai compris, si tu veux m’en parler, je suis là, mais sache que je ne dirais rien, tu es ma Charlotte, je t’aime et je ne te ferais jamais de mal.
— Qu’as-tu compris ?
— Regarde Alice, elle a les yeux bleus clair de Marie, les tiens sont foncés ainsi que ceux de feu ton mari, elle a le visage fin de Marie, tu as un visage plus rond, et je suis sûre que ...