Moi paysanne maîtresse du sexe (12)
Datte: 28/10/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... cent vingt-huit, j’ai quarante et un ans, Charlotte quarante-cinq et notre amour vingt et un, c’est devenu une magnifique jeune femme, et comme le disait Dorothy, qui nous a quittés il y a trois ans, elle me ressemble beaucoup, mêmes seins, même fesses, c’est moi à son âge. C’est une parfaite aristocrate anglaise comme sa mère, mais avec un soupçon de nonchalance française. Je suis toujours amoureuse de Charlotte, nous partageons notre vie depuis plus de vingt ans, sans heurts, toujours en harmonie. Je l’ai toujours considérée comme ma patronne, même si je partageais son lit et que j’étais la gouvernante, c’est toujours elle la propriétaire du château. Ma vie n’a été qu’une succession de bonheur depuis que je la connais. Britney et Nancy sont toujours à notre service, elles sont toujours amoureuses et toujours prêtes à nous faire plaisir sous quelques formes que ce soit.
Nous allons marier Alice, elle est follement amoureuse du fils d’un lord anglais de Londres, les deux fortunes réunies vont en faire une des plus riches familles d’Angleterre. Charlotte est folle de joie, sa fille se marie et elle veut des enfants, ce qui la rendrait grand-mère. Moi aussi, je suis folle de joie à la perspective qu’Alice ait des enfants, je ne les verrais pas ...
... beaucoup, elle va aller habiter à côté de Londres, mais ce n’est pas excessivement loin, nous irons de temps en temps avec Charlotte. Vicky et Perrine sont toujours à son service, elles la suivront quand elle sera mariée, c’est Alice qui l’a demandé. Elle veut en faire ses gouvernantes dans sa nouvelle demeure. Au début, elle voulait m’amener avec elle dans le château qui est encore plus grand que celui de Charlotte, mais j’ai refusé, ne voulant pas l’abandonner. C’est pour ça qu’elles me suivent partout depuis un an, elles apprennent comment gérer un château et surtout le personnel.
Ce qui est agréable, c’est que je leur parle français, Vicky parle maintenant couramment. Je leur enseigne ce que j’ai vu avec Bérangère et Dorothy, une poigne de fer dans un gant de velours, et surtout de l’amour.
J’ai eu en définitive une très belle vie, même enfant, nous étions pauvres, mais j’étais aimée, j’ai vécu deux vies, la première de servante, la seconde de gouvernante du château de Leeds. Toutes les deux m’ont plu, il faut dire que j’étais une servante dans des conditions un peu spéciales. L’amour de Charlotte a transformé ma vie, je n’ai compris que plus tard que c’était partagé, mais je l’ai vécu en me donnant entièrement. J’attends la suite avec sérénité.