1. De solitude en flagrant délit


    Datte: 27/10/2022, Catégories: f, h, fplusag, Collègues / Travail cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation confession, mast, Auteur: Fredeau, Source: Revebebe

    ... l’élastique passe sous mes couilles, remontant autour de ma verge, et m’enserrai le gland. Ainsi emprisonné, serré, avec la dentelle qui augmentait la fusion de mon érection. J’avais calé son vêtement si intime autour de ma queue et je me branlais activement dans cette situation.
    
    Tout à mon imagination, j’aurais voulu que Cécile-Marie me voie dans cet état. J’aurais tellement aimé qu’elle me surprenne dans son garage au beau milieu de mon plaisir solitaire… Je voulais cela. Devrais-je tout lui raconter à son retour. Elle exigerait probablement la preuve de ma jouissance. Qu’adviendrait-il ensuite ? Je ne lui dirai rien…
    
    Je ne tenais plus, mon plaisir montait très vite, très fort. Il était accentué par les situations imaginaires que je me représentais, et par le contact assez fin de sa lingerie sur ma tige. J’explosai. J’avais recouvert le bout de mon gland avec un pan de tissu laissé libre de sa petite culotte.
    
    Je libérai en même temps la tension de l’élastique autour de mes bourses et la base de mon bâton de chair, tout en me frictionnant la queue à toute vitesse, je me vidai, en inondant la lingerie toute noire de Cécile-Marie de mon nectar bien blanc.
    
    J’ai mis quelques minutes à m’en remettre. J’avais presque réussi à contenir toute ma semence dans les plis et vagues de son tanga. Je ne savais pas quoi faire de ma bêtise. Où cacher cela ? Si j’avais eu les clés de la maison, pour lui laisser un indice, aurais-je eu l’audace de déposer mon forfait sur sa table ...
    ... de chevet ?
    
    Rien de tout cela n’est jamais arrivé, bien sûr. C’est un pur fantasme. Mais j’imagine souvent un petit tanga noir sur les hanches de Cécile-Marie… ornant magnifiquement son corps désirable.
    
    À la fin de son premier mail où il me relatait l’histoire de sa branlette dans mon tanga, Fred m’avait demandé d’imaginer une suite, dans l’éventualité où je l’aurais découvert debout en plein plaisir solitaire.
    
    Cet après-midi-là, donc, je rentrais des courses et avais prévu un petit goûter pour mon ouvrier.
    
    Je n’ai pas trouvé Fred dans le jardin et en repassant dans le garage, sans vraiment faire attention à ne pas faire de bruit, je trouvai Fred debout de profil entre le cellier et le garage. Il avait les yeux clos, un rictus de plaisir déformant son visage, adossé au bâti de porte. Il ne m’a pas vue et en silence, je regardai la scène et m’aperçus très vite qu’il tenait son sexe dans sa main droite, enveloppée d’une étoffe dont j’ignorai encore l’origine.
    
    Je percevais dans ses soupirs qu’il prononçait mon prénom et que, sans ambiguïté, il se masturbait, me croyant absente.
    
    Il faut dire que j’en pinçais un peu pour lui. Je trouvais souvent un prétexte pour qu’il me rende visite : donner un devis de travaux, organiser les matériaux, le comment procéder, réalisation des travaux, SAV…
    
    Physiquement, je n’ai pas de type d’hommes, c’est au feeling comme on dit. Et avec Fred, le feeling était assez bon. Il y a quelques jours, j’avais avoué avoir des « PC », et ...
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