1. De solitude en flagrant délit


    Datte: 27/10/2022, Catégories: f, h, fplusag, Collègues / Travail cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation confession, mast, Auteur: Fredeau, Source: Revebebe

    Je travaillais sur un nouveau projet de travaux chez Cécile-Marie, elle appréciait mon travail et je suppose aussi ma compagnie. Elle m’avait laissé tout ouvert dans le garage et je pouvais entreposer mon matériel et chercher après des vis dans son stock, si j’en avais besoin.
    
    Je fantasmais depuis quelques jours sur Cécile-Marie, depuis qu’elle m’avait révélé les « PC » Plans Cul… Cela m’avait mis dans un certain état d’incrédulité et de stupéfaction. Elle m’avait expliqué brièvement, tout en étant assez gênée également…
    
    Sans savoir ce qu’elle ressentait pour moi, n’en ayant jamais parlé ouvertement et comme je suis de nature très timide avec les femmes… Je n’ai pas eu de retour sur ce que je pouvais penser de Cécile-Marie. Elle me plaisait. Elle a quarante-quatre ans, toute la force de son âge, l’Expérience surtout et je l’imaginais expérimentée avec un grand E. C’est cela qui m’attirait aussi beaucoup. Physiquement, elle n’avait pas besoin de faire beaucoup d’effort, elle était belle. Souvent, ses tenues me rendaient un peu foufou, intérieurement bien sûr…
    
    Et quand elle se changeait pour venir bricoler avec moi… c’était tout aussi suggestif dans une certaine limite qu’imposait notre relation « amicale » entre un ouvrier et sa patronne !
    
    Je me doutais bien qu’il pouvait y avoir le feu en elle. Mais toujours très respectueuse, elle n’a jamais cherché à me dévoiler quoi que ce soit. Elle ne m’a jamais chauffé non plus. J’appris plus tard, dans nos discussions par ...
    ... textos, qu’elle « bloquait » sur le fait que je sois marié.
    
    Donc après la surprise des « PC », mon imaginaire se mit en route… Pourrais-je en être un aussi ?
    
    Et voici ce qui aurait pu se passer, par exemple… Une situation fantasmée dans mon petit imaginaire…
    
    Cet après-midi-là, Cécile-Marie s’absenta faire des courses et au détour du garage, j’ai trouvé, abandonné sur le sol du cellier, à proximité d’une machine à laver : un sous-vêtement féminin. Je fus pris d’un délire soudain et j’avais envie de libérer mon état d’excitation pour mieux travailler et m’évacuer mes pensées entre ma femme et Cécile-Marie.
    
    En prenant le vêtement dans les mains, je découvris avec plaisir que c’était un beau tanga noir. Il était propre. Il sentait le produit de lessive.
    
    Aurais-je voulu que cela sente Cécile-Marie ? Je pense… J’ai descendu un peu mon short et j’ai passé l’étoffe de sa lingerie sur mon sexe. Je me suis vite retrouvé avec le dard droit comme la justice, emprisonné dans la main.
    
    Je me cachais le visage avec sa lingerie. Je me remplissais les narines des effluves de lessive provenant du tissu en imaginant bien ce que ce genre de vêtement pouvait renfermer comme autre odeur intime.
    
    Je faisais glisser l’étoffe de dentelle sur les poils de mon sexe. Cela m’électrisait et me faisait bander encore plus fort. Je ne pouvais contrôler les mouvements de ma main. La petite culotte noire vint se placer sur mon gland. Plus tard, je réussis à la positionner de façon à ce que ...
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