Regards
Datte: 26/10/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
caférestau,
voiture,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... homme changer. Il se lève, s’approche de moi, me complimente de ma beauté et s’incline pour m’embrasser ; je minaude juste ce qu’il faut et finis par lui donner mes lèvres. Son baiser est aussi frais que maladroit. Sa langue hésite à me pénétrer, alors c’est la mienne qui part explorer son palais. D’une main, il me saisit un sein, de l’autre il se faufile vers la fugitive vision qu’il a eue. Ses doigts sont presque trop doux, il effleure plus qu’il ne caresse. Je suis à la fois grisée et frustrée. Je n’ai vraiment pas l’habitude d’être traitée aussi délicatement. Il est presque féminin dans ses gestes ! Moi qui m’imaginais qu’inexpérience et frénésie rimaient ! Alors, délicatement, je prends sa main et, dans un murmure, l’invite à me suivre. Dans l’escalier qui monte à la chambre, je sens sur une fesse sa première preuve d’audace. Arrivés, près du lit, je lui fais face et, d’une voix qui me semble être étrangère, lui dit :
— Déshabille-moi !
Il s’avance un peu théâtralement vers moi, pose ses mains sur ma poitrine et ouvre un à un mes boutons. Je me penche un peu en arrière pour faire saillir mon buste et tomber mon corsage en arrière. Ce faisant, je lui offre mon cou. Il y dépose un baiser appuyé, ses dents viennent mordiller ma chair. Puis il se recule et regarde, ébloui, mes seins. Je dois lui rappeler que j’ai aussi une jupe. Il s’escrime sans succès sur sa fermeture. Heureusement que je n’ai pas mis de soutien-gorge, bien plus difficile à dégrafer ! J’ai pitié de ...
... lui et viens à sa rescousse. Mon dernier vêtement tombe en corolle autour de moi. Alors, je bascule en arrière sur le lit et, les cuisses ouvertes, m’offre à lui. Il se dévêt et me recouvre de son corps. Je sens son jeune sexe durci tenter de forcer sur mon nombril, alors qu’il me tète un sein comme un bébé affamé !
Une fois de plus, ma main vient à son secours et, se saisissant sa tige, la pose aux portes du paradis. Il s’enfonce en moi, lentement, inexorablement. Son glaive a trouvé un fourreau. Malheureusement, il m’écrase un peu, comme souvent les hommes quand ils me prennent en missionnaire. J’ai beau, par de petites tapes sur ses avant-bras lui suggérer de s’appuyer sur ses coudes pour me soulager d’une partie de sa masse, il continue ses va-et-vient, de plus en plus rapides, de plus en plus puissants. Je sens le plaisir monter dans mes reins, j’essaie de le retenir jusqu’à ce que sa sève explose en moi et me lâche alors dans un orgasme mouillé. Pour la première fois, je suis allée jusqu’au bout avec une des cibles qui m’a été désignée !
Lorsque je reviens sur terre, mon jeune apollon a la tête posée sur ma poitrine, une de ses mains court sur mon ventre, de mon nombril à ma toison. Peut-être repère-t-il ma géographie pour éviter l’erreur de son premier assaut. J’aime ce moment de calme après la tempête où les corps comblés nagent dans une douce béatitude, où sueur, sperme et cyprine ne sont pas encore incommodants.
La voix de Stéphane interrompt brutalement ce ...