1. Regards


    Datte: 26/10/2022, Catégories: fh, hplusag, caférestau, voiture, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... plusieurs sourires avant même que j’aie laissé ma jupe s’ouvrir. Jecorrige ma position puis, d’un petit signe discret, lui fais signe de me rejoindre. Il se lève aussitôt, prend son porte-documents et me rejoint. Il s’appelle Stan, habite le quartier, fréquente le lycée voisin et est en prépa. Il passe ses partielles dans deux jours. Je n’ose pas lui demander son âge. Il m’interroge sur mes études, me demande si je suis seule dans la vie. Je lui réponds longuement sur le premier point, de manière très elliptique sur le second. Il me fait part de son souhait d’intégrer une école d’ingénieurs.
    
    Au début de la conversation, ses beaux yeux bleus effleurent de manière presque gênée mes cuisses découvertes et mon buste apparent. Peu à peu, son regard s’affermit, et il ne craint plus que je m’offense de ses coups d’œil lubriques. Je fais comme si je ne remarquais rien et à mon tour lui pose des questions plus intimes. Non, aucune des deux filles qui étaient avec lui n’est sa petite amie. D’ailleurs, il n’en a pas en ce moment. Oui, il a eu un flirt très poussé avec une.
    
    Sur le ton de la confidence pour ne pas le brusquer, je lui demande ce qu’il entend par là. Il rosit délicieusement, et m’avoue par périphrases que leur expérience a tenu de l’exploration manuelle poussée. Il finit par m’avouer, en baissant les yeux, qu’il n’est jamais allé « jusqu’au bout » avec une femme. Je réalise alors que la mission que m’a confiée Stéphane est d’ordre initiatique. J’ai lu qu’il s’agit ...
    ... là d’un fantasme très commun des femmes qui ont passé la quarantaine, mais, pour moi aussi, ce sera aussi une forme de première ! D’ailleurs, mon téléphone vibre ! C’est évidemment Stéphane :
    
    Je cache mon écran pour que mon vis-à-vis ne le voie pas pour lui répondre par l’affirmative. L’atmosphère se détend un peu, car nous abordons de sujets moins intimes, il est un cinéphile avisé. Le temps passe, ses yeux sont de plus en plus gourmands, alors je lui propose très naturellement de venir boire un cocachez moi. Il acquiesce.
    
    Dans l’étroit ascenseur qui monte chez mon amant, je frôle à plusieurs reprises, comme par mégarde, son bas-ventre de mes fesses. Il me semble avoir senti la preuve de son intérêt pour moi. Je réalise que, cette fois, Stéphane (dont j’ignore le point de chute) a interverti les rôles. De proie, je suis devenue prédatrice. Mais ma victime est si tendre que je décide d’user d’une grande douceur pour la dévorer…
    
    J’installe Stan dans un fauteuil du salon. Je vais lui chercher un coca et m’assois face à lui, laissant naturellement ma jupe s’ouvrir. Nous trinquons. Tout d’un coup, son regard se fige sur mon bas-ventre. Il a dû voir mon minou. Il pique un fard et me souffle :
    
    — Euh, vous n’avez pas de culotte ?
    — Non, quand il fait chaud, je n’en mets pas.
    
    J’ai tenté de répondre le plus spontanément possible. Avec le même naturel, je referme les pans de ma robe, comme si j’étais désolée de ce petit accident « ménager ». Je sens l’attitude du jeune ...
«12...101112...»