La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1506)
Datte: 25/10/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... une bouteille d'eau et pencha le goulot vers ma bouche, je l'ouvris en grand car ces heures de souffrance m'avaient assoiffé. Il laissa couler un peu d'eau dans ma gorge, humectant ma bouche, puis retira le goulot de mes lèvres... par réflexe, je tentais d'avancer la tête vers cette eau qui me devenait ainsi inaccessible. Mais mon mouvement fut naturellement empêché par les entraves. L'inconnu s'occupa ainsi un long moment, m'accordant quelques gouttes avant de retirer la bouteille, puis la rapprochant sans pour autant me permettre de boire... et je vis qu'il prenait bien garde à ne pas s'interposer entre le caméscope et mon corps ainsi exposé. Ce "jeun" dura longtemps, jusqu'au moment où l'homme cagoulé fit ruisseler toute l'eau qu'il restait sur mon corps, me faisant comprendre que c'en était fini de boire.
Mais ce mystérieux inconnu ne quitta pas la pièce pour autant. Demeurant tout près de moi, il s'occupait maintenant à manipuler les pinces. Ainsi, le Châtelain n'allait pas appliquer Lui-même la sentence. L'esclave n'était même pas digne que le Maitre se charge en personne de Son châtiment. Le jeune Marquis avait délégué cela à cet inconnu cagoulé... Et celui-ci poursuivait son sadisme, faisant bouger les pinces sans pour autant les enlever, tirant doucement sur les poids afin d'en augmenter la tension déjà si forte... Puis, saisissant l'une des pinces, il tira doucement dessus, étirant la chair prisonnière jusqu'à ce que la pince se détache provoquant un gémissement ...
... que je ne pus contrôler et qui me valut une fulgurante gifle sévère. Ainsi, l'homme enleva une à une les pinces de bois qui garnissaient toutes les parties de mon corps exposé, suscitant à chaque fois une morsure plus douloureuse et le moindre souffle de ma part me valait une forte claque en réprimande. Tout mon corps ressentait douloureusement l'afflux de sang partout où les pinces étaient restées si longtemps en place. Rarement j'avais été aussi tendu, et je savais que restaient en place aux couilles et aux tétons, les pinces garnies de poids... Mais l'homme cagoulé stoppa net et se tint droit, immobile… A nouveau la porte latérale s'ouvrit et une fois que la personne s’approcha, du coin de l'œil je vis entrer cet autre homme, lui aussi nu et cagoulé, portant un fauteuil. Il était suivi de Monsieur le Marquis tenant Chloé en laisse et en quadrupédie, la jeune femme le suivant ainsi en toute humilité… Le fauteuil ayant été déposé près du caméscope. Et celui qui le portait se recula de quelques pas dans une attitude des plus déférentes envers le Supérieur, le Maître, qui prit place, la soumise nue se tenant un pas en arrière, la tête regardant le sol.
- Je n'ai que peu de temps à t'accorder, à peine celui d'édicter Mes règles : Ta punition commence à peine. Ces deux soumis-étalons appartiennent au Cercle des Supérieurs, et bien évidemment dans la catégorie des inférieurs. Ils ont été privés de jouissance durant une longue période et J'ai décidé que ce serait toi qui leur ...