La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1506)
Datte: 25/10/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... courroux…
Et Le Maitre décompta : 1, 2, 3, 4... 5. Je ne dis absolument rien, je restai humblement silencieux, prêt à tout endurer pour que le jeune Marquis d'Evans consente à me garder à Ses Pieds, pour que ma vie ne soit consacrée qu'à Lui appartenir, à Le vénérer, à Lui obéir et Le servir toujours, partout, quelles que soient les circonstances, c’était ma seule et unique importance, ma seule priorité, être et rester à Lui ...
- Bien... Donc tu vas te soumettre à toutes les épreuves que je déciderai de t'imposer, tu connaîtras l'humiliation, l'avilissement, la douleur, tu descendras plus bas que tout ce que tu n'oserais même pas imaginer... et à l'issue de ce parcours initiatique, je prendrai Ma décision définitive quant à ton avenir d'esclave à Mes pieds. Car esclave tu es et demeureras, mais tu dois Me prouver que tu peux mériter de M'appartenir, autrement, je n'aurai aucune indulgence et je te céderai sans hésitation au premier Supérieur qui daignera t'adopter...
Ayant prononcé cette sentence qui me glaça le sang, le jeune Noble défit le collier que je portai au cou et c'est en me poussant du pied qu'il me fit avancer en quadrupédie jusqu'à la pièce où se trouvait la cage. Mais le Maître ne m'enferma pas. Il me mena en me tirant par les cheveux jusqu'à la croix de Saint-André qui se dressait sur un mur d’angle placé dans le cagibi sans porte et m'y attacha face à la pièce. Il fixa à mes tétons et à mes couilles, des pinces mordantes auxquelles pendaient de ...
... lourds poids. Partout ailleurs sur le corps, des pinces à linge en bois, au total une trentaine. Puis il installa trépied avec un caméscope branché sur le secteur électrique (nous sommes dans les années 80) face à mon corps nu ainsi tourmenté et le mit en marche fixe avant de quitter la pièce… Et je demeurai ainsi... le temps passant, deux heures s'égrainant lentement, la morsure des pinces de bois et l'étirement des poids irradiant peu à peu mon corps servile tout entier d'une douleur diffuse et permanente. Je ne pouvais retenir les larmes qui coulaient maintenant sur mes joues, autant de douleur que de la honte de ces résultats qui avaient provoqué le mécontentement du Maitre. J’aurai tellement préféré qu'il me batte, qu'il me corrige durement, mais être ainsi abandonné, contraint dans le silence et la douleur de méditer à ce qui m'avait mené à cette si difficile situation. Je ressassais tous les moments où je n'avais sans doute pas montré assez de motivation, où j'avais été indigne de la confiance du Maître Vénéré... Mon corps par moment se tendait bien inutilement puisque la façon dont j'étais assujetti à la croix rendait tout mouvement dérisoire.
La porte latérale s'ouvrit et je sentis une présence... Mais le positionnement de mon corps m'interdisait de voir de qui il s'agissait à cause du mur latéral du cagibi... Quand devant moi apparut soudain un homme... Il était entièrement nu et portait une cagoule noire ne laissant apparaître que ses yeux et sa bouche. Il présenta ...