Plaisir bisexuel
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
fhh,
hbi,
hplusag,
jeunes,
copains,
Collègues / Travail
campagne,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
Auteur: Toubab, Source: Revebebe
... Dehors, on entend un orage s’approcher. Le tonnerre déchire le silence de ses grondements.
Sentant que mon sexe se raidit à nouveau, Denis me susurre à l’oreille son envie d’être sodomisé. En guise de réponse, je glisse un doigt dans la raie de ses fesses. Il se fait chatte, se colle encore plus à moi, raffermissant l’emprise de sa main sur ma queue. Notre excitation va crescendo. Mon doigt est comme happé par son petit trou. Denis ronronne de bonheur sous mon pistonnage délicat. Nous ne prêtons plus aucune attention à l’orage qui ébranle le ciel jusqu’à ce que… Toc, toc, toc…
— Les garçons, les garçons !
C’est la voix de Mélanie.
— Dites, je peux venir avec vous ? Il y a de l’orage et j’ai peur. S’il vous plaît. J’ai peur.
Je n’ai pas le temps de dire non que, déjà, Denis l’invite à rentrer. En nous voyant enlacés, Mélanie a une hésitation.
— Je suis désolée, je vous dérange.
Denis se décolle de moi et la rassure :
— Mais non, entre ! Tu ne nous déranges pas. Et puis, moi aussi j’ai peur de l’orage, je sais ce que c’est.
Aussitôt, Mélanie bondit sur le lit, fait claquer une grosse bise sur la joue de Denis et la mienne avant de prendre place entre nous deux. En soulevant le drap, elle a bien dû remarquer nos sexes bandés, mais n’en laisse rien paraître ; comme s’il était tout naturel, pour elle, de se retrouver en chemise de nuit entre deux hommes en érection.
Pendant que je ronge mon frein, Denis et Mélanie parlent de leur peur de l’orage, ...
... évoquent des anecdotes d’enfance… Bercé par leurs voix, je m’endors profondément.
* * * *
Douché et rasé de près, je prépare le petit-déjeuner. Il fait très beau dehors et il fait très beau dans ma vie. Je me sens léger et euphorique depuis le réveil, depuis que j’ai vu Denis et Mélanie dormir l’un à côté de l’autre. L’image de ma maîtresse et de mon amant partageant le même lit m’a rempli de joie. Pour la première fois depuis longtemps, je suis heureux d’être bisexuel.
Lové dans le peignoir de Denis, dont je me repais du parfum, je déguste mon café en regardant le jardin. En me rejoignant, mes amis me tirent de ma rêverie. Ils ont les cheveux mouillés et je suis étonné de ne les avoir entendus ni se lever ni se laver. Mélanie a passé une robe de chambre sous laquelle elle doit être nue. Denis, lui, porte un paréo qui ne cache rien des mouvements que fait son sexe à chaque pas.
Profitant de ce que notre amie est repartie vers la cuisine, Denis vient s’asseoir en amazone sur mes genoux. Il m’enlace et nous échangeons un long baiser où nos langues rivalisent de virtuosité. Je ne peux pas m’empêcher de faire glisser ma main le long de ses côtes vers son sexe. Passant sous le paréo, je fais un fourreau de mes doigts pour branler doucement sa queue bandée. En même temps, je lui demande s’il a toujours envie de m’offrir ses petites fesses.
— Encore plus qu’hier.
Ce disant, il prend ma main et nous entraîne dans la chambre.
* * * *
Au moment où mon sexe encapoté ...