Plaisir bisexuel
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
fhh,
hbi,
hplusag,
jeunes,
copains,
Collègues / Travail
campagne,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
Auteur: Toubab, Source: Revebebe
... l’image d’une Mater Dolorosa. Pour assurer une position confortable, il pose une main sur ma hanche et colle sa poitrine ainsi que son visage contre mon ventre. Intérieurement, je remercie mille fois l’artiste de me permettre de sentir cette peau contre la mienne. Sa chaleur se diffuse à l’ensemble de mon corps et mon sexe gonfle sans toutefois être en érection.
La pose dure plus longtemps que les précédentes. J’ai l’impression que la main de Denis posée sur ma hanche me caresse. Je me fais peut-être des idées, il se peut que ce soit fortuit. Mais je m’en fous et ferme les yeux pour en profiter pleinement. En même temps, je ressens plus fortement son souffle contre mon ventre.
Mon excitation va crescendo, les images qui traversent mon esprit sont celles d’un corps à corps torride. Je tente, tant bien que mal, de cacher mon trouble ; mais mon sexe n’en peut plus du stoïcisme que je lui impose. Il se gonfle et s’étend pour venir buter rigidement contre le flanc de Denis. Je ne fais rien pour l’en empêcher : je veux qu’il sache qu’il me plaît, m’excite et me fait bander.
Quand j’ouvre les yeux à nouveau, son regard et son sourire m’indiquent qu’il a compris le message. D’ailleurs, il recule légèrement sa poitrine pour laisser mon sexe se dresser à son aise et ensuite mieux l’emprisonner entre nous. Maintenant, il me caresse franchement la hanche et cela m’électrise totalement. J’ai vraiment envie de me jeter sur lui.
Je n’en peux plus d’attendre quand, enfin, ...
... Camille annonce qu’elle a fini et que nous pouvons nous relever. Aussitôt, Denis se redresse sur ses genoux, face à moi, et prend ma tête à deux mains pour coller sa bouche à la mienne. J’ai tellement attendu ce baiser qu’il me semble irréel. Nous nous dévorons l’un l’autre, les corps soudés. Un bruit nous rappelle la présence de Camille. On se sépare, les yeux pétillants et le rouge aux joues, pour aller reprendre nos vêtements posés sur le sofa.
* * * *
— Je suis contente pour toi. Et en plus, je le trouve plutôt mignon.
Telle est la réaction de Mélanie lorsque je lui ai dit que je venais d’embrasser Denis. Est-ce pour cela qu’elle est allée se coucher bien plus tôt qu’à son habitude ? Peu importe.
Denis et moi nous retrouvons seuls et, en peu de temps, nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Allongé sur lui, je m’empresse de déboutonner sa chemise pour poser ma bouche sur ses tétons. J’alterne les baisers sur ses seins et ses lèvres tout en aventurant une main vers son bermuda. Je caresse sa queue par-dessus le tissu. Mon impression de l’après-midi est confirmée, alors je m’immisce sous son boxer : son sexe est long, lourd et chaleureusement raide.
Le toucher ne me suffit pas : je veux le voir et le goûter. Aussi, je me laisse glisser le long de son corps pour approcher de l’objet de ma convoitise.
— Attends ! Tu ne préférerais pas aller dans la chambre ? Mélanie pourrait nous surprendre.
— Oui, bien sûr.
La porte de la chambre à peine refermée, nous ...