L'été, c'est fait pour la baise (2) - Histoires de Sexe

L'été, c'est fait pour la baise (2)

... l'absence d'allusion à Claire. Il n'eut pas le temps de se poser trop de questions car Marianne s'était retournée et offrait sa croupe pulpeuse à raie longue, dont il avait si souvent admiré le louvoiement au bord de la piscine. Mais cette fois, elle était au bout de sa queue. Sans hésiter, il s'enfonça en lui tenant les hanches qu'elle roulait avec allégresse. Pendant qu'il la besognait, elle proféra une série de mots crus qui chatouillèrent ses oreilles, peu habituées par ses ébats avec Claire qui se limitait aux couinements et aux jappements. Marianne lui parlait de sa bite et de sa chatte entre deux halètements, jusqu'au moment où elle lui dit :

- Lèche-moi le cul maintenant et encule-moi.

*****

La pratique était inédite au jeune homme. Il hésita mais ne voulut pas non plus paraitre idiot à la somptueuse quadragénaire devenue son initiatrice. Sa langue s'aventura avec précaution mais l'instinct du mâle finit par prévaloir et après avoir copieusement enduit l'anneau de sa salive, sous les injonctions de Marianne, il aventura sa queue qui s'était encore allongée. Cambrée, impérieuse, elle l'accueillit aisément et Kevin ressentit une sensation nouvelle : celle d'évoluer dans un large espace, brûlant et accueillant. L'ivresse des peaux qui claquent ne tarda pas à l'emporter, d'autant que Marianne ne cessait de l'encourager avec des mots choisis. L'autre découverte du jeune homme était l'excitation procurée par le verbe cru d'une femme bien baisée. Elle tournait ...

... parfois son visage par dessus son épaule pour le regarder et l'admonester, glissant une main entre ses cuisses pour lui palper les couilles. Et c'était la mère de Claire, sa copine ! Mais quelle cochonne ! Ah si elle pouvait déteindre sur sa fille ! Mais ces choses là ne s'éduquent pas. Avec son endurance d'athlète, il poursuivait sans faiblir son oeuvre de mâle en matant le dos bronzé et les fesses mouvantes de sa partenaire en extase. Elle poussa un cri de plaisir et il vit son corps parsemé de chair de poule. Il l'avait fait jouir ! Elle s'aplatit et il s'interrompit, la queue toujours en éveil. Elle se retourna et lui sourit :

- Tu me sers comme un chef ! Tu es fait pour l'amour. Les femmes t'adoreront. En tout cas celles qui aiment la bite, comme moi. Je te parais vulgaire ?

- Euh.... non, c'est excitant.

- Je parle quand je baise, c'est plus fort que moi. Si mes clients savaient ça ! Tu vois, c'est ça aussi le sexe. Permettre à une femme de se lâcher complètement. De faire sortir la bête qui est en elle. L'homme est bestial mais la femme aussi. Je vois que tu es toujours gaillard. Mais tu m'as tuée. Tu vas me baiser maintenant comme tu en as envie. Je veux que tu jouisses, que tu cries aussi et que tu me fasses encore crier. Comment veux-tu me prendre ?

Kevin l'embrassa et vint se positionner entre ses cuisses, qu'il releva en glissant ses mains sous ses genoux. Elle lui prit le pénis et le guida vers sa chatte trempée, disant :

- Oui, c'est ça, défonce-moi, ...