L'été, c'est fait pour la baise (2) - Histoires de Sexe

L'été, c'est fait pour la baise (2)

... monde sexuel et qu'elle ne reviendrait plus en arrière. Et Marianne n'avait aucune envie d'avoir pour "gendre" un homme de son âge.

*******

Aussi, après une nouvelle apparition à la caisse de Kevin, elle lui proposa de la retrouver le soir même, après son boulot, à une terrasse de café pour "bavarder", prétextant une solitude un peu pesante. Le jeune homme accepta d'autant plus volontiers la proposition qu'il s'ennuyait ferme lui aussi en fin de journée.

Il arriva le premier à la terrasse du café convenu. Marianne apparut ensuite, mâchoire carrée de décideuse, cheveux battant ses épaules, corsage en jean boutonné bas, jupe courte également en jean dévoilant ses cuisses un peu épaisses mais musclées. Les fauteuils du bar étaient assez profonds et Kevin, la gorge sèche, ne tarda pas à découvrir, lors d'un des nombreux croisements de jambes de Marianne, l'ombre de son pubis brun. Il avait beau l'avoir vu très souvent nue, le fait qu'elle ne porte pas de slip sous sa mini jupe déclencha illico une raideur dans son bermuda, dont s'aperçut sans mal sa vis à vis. De leur discussion, on ne retirera que l'ennui mutuel en l'absence de leurs "conjoints", quelques bons souvenirs de leurs vacances, les vicissitudes du métier de caissier et la vacuité d'un travail d'agent immobilier au coeur de l'été. Tout s'acheva par la proposition de Marianne de venir partager son dîner solitaire chez elle, "à la bonne franquette car je n'ai rien préparé". Ce que Kevin accepta ...

... d'emblée.

********

Marianne déclara à son entrée dans son appartement qu'elle allait préparer des spaghettis à la carbonara "parce que c'est rapide". La vérité oblige à dire que le plat n'arriva jamais sur la table. D'emblée, une tension érotique palpable régna dans l'appartement. Kevin, sevré de sexe depuis le départ de Claire, bandait comme un âne et l'excroissance sous le léger bermuda était tellement visible que Marianne ne pouvait décemment pas l'ignorer. Trois options se présentaient à elle : évacuer de sa pensée le trouble de son visiteur, au contraire le tourner en dérision ou carrément lui mettre "la main au panier". Quant à Kevin, il n'était pas assez audacieux, du haut de ses vingt ans, pour enlacer la mère de sa petite amie et lui coller son vit sur le corps. C'est ce que comprit Marianne et la décida à la transgression. Pendant que le jeune homme remplissait la casserole d'eau avant de la mettre sur le feu, comme il s'était proposé afin de dissimuler son érection, Marianne se glissa derrière lui, écrasa ses seins sur son dos et glissa une main sous le bermuda, saisissant ses couilles bien pleines. Kevin sursauta, mais ne dit mot. Et Marianne lui souffla à l'oreille :

- Laisse-toi faire.

Elle le retourna, s'accroupit, baissa le bermuda et le slip, saisit la verge tendue et goba le gland petit mais ferme pour une démonstration de pipe dont elle savait sa fille bien incapable, avec l'a priori d'une mère.

Il faut reconnaitre qu'elle était particulièrement experte et le ...