L'été, c'est fait pour la baise (2) - Histoires de Sexe

L'été, c'est fait pour la baise (2)

... premier à en convenir était Kevin lui-même. Jouant avec virtuosité de la langue, des lèvres, des joues et même de l'entrée de sa gorge, tout en observant les réactions du jeune homme en levant les yeux vers lui, Marianne sentit rapidement, à la dureté de la verge, qu'il allait exploser prématurément dans sa bouche. Elle persista néanmoins et Kevin expulsa un baquet de sperme en gémissant que Marianne avala d'un trait, étant des "femmes qui avalent". Elle se barbouilla le visage du reste de la crème intime, signifiant ainsi à son jeune amant le plaisir que lui avait procuré son liquide séminal, quand bien même avait-il été expulsé trop tôt.

Elle chassa aussitôt ses excuses :

- C'est normal, j'aurais dû te ménager. Mais rassure-toi, tu ne perds rien pour attendre. Tu seras même plus endurant et c'est ce que je voulais.

Ils passèrent à table devant les pâtes à la carbonara. Marianne était toujours vêtue de son ensemble jean dont la veste baillait sur ses seins généreux. A la fin du repas, durant lequel ils avaient peu parlé, elle glissa son pied nu sur l'entrejambes du jeune homme qu'elle massa de ses orteils. L'érection ne tarda pas à réapparaitre. Marianne se leva de table en s'étirant, très chatte, et lâcha :

- J'ai très envie d'un petit dessert.

Ecartant les couverts dans un coin de la table, elle s'assit face à Kevin, encore sur sa chaise, troussa sa jupe, prit le jeune homme par la nuque et le porta vers son entrecuisses, ordonnant :

- Lèche ...

... !

Kevin n'avait jamais pratiqué le cunni avec Claire. Le contact du sexe trempé de Marianne sur les lèvres se fit d'abord maladroitement. Elle le guida :

- Douuuucement ! Tu sens mon clito en haut ? Mets-y la langue. Là, oui, comme ça, continue. Mmhhh c'est bon. Va au fond maintenant, comme ta queue. Reviens au clito, là comme ça, tu alternes. Sers-toi du bout de ta langue. Ouiiiii ! J'adore ça. Mange ! C'est ton dessert et le mien.

Pris au jeu, Kevin devint de plus en plus alerte, excité par le remuement des hanches de Marianne sur la table et par la crispation de sa main sur sa nuque. Les soupirs d'extase de la quadragénaire se traduisirent par une gerbe de cyprine sur son museau. Il lui avait offert un premier orgasme. Surexcité, il se releva, se mit debout et la pénétra d'une seule poussée. Il croisa son regard étonné puis énamouré tandis qu'elle encerclait ses reins de ses mollets et la table se déplaça d'un bon mètre sous les assauts du jeune mâle fouisseur. En appui sur la table, Marianne tentait de lui renvoyer la balle mais c'était lui qui menait la danse. Son éjaculation récente le rendait endurant, comme elle l'avait prévu, et ce fut elle qui atteignit la jouissance en se cabrant. Haletante, elle lâcha :

- Coquin ! Tu m'as déjà mis le feu. Allez, viens, on va continuer au lit. J'ai encore envie de baiser.

*******

Nue sur lit, Marianne observa d'un oeil gourmant le jeune homme se dévêtir, la queue fine à l'horizontale. Lui admirait le corps pulpeux, ...