1. JUSTE TIRER MON COUP 1


    Datte: 26/08/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... l'observais du coin de l’œil, il était mince, musclé et mon regard revenait automatiquement sur son sourire. J'avais envie de le toucher mais je ne sais pas pourquoi, il m'intimidait. Il était trop beau peut être.
    
    Un peu plus tard on décidait de sortir dans une boite de nuit. Le bruit, la chaleur, la foule nous poussaient l'un contre l'autre et c'est à ce moment que nos lèvres se sont touchées. C'était un rêve, vous savez un de ces rêves si rare qui vous transporte, vous soulève du sol et qui vous repose avec douceur, ce genre de rêve qui est mieux que la réalité et qui pourtant est la réalité.
    
    Nous nous tenions fermement, cramponnés l'un à l'autre. Aucun de nous deux ne voulait plus lâcher l'autre. Il avait passé sa main sur ma nuque et avec la paume de sa main et son pouce me caressait la joue. J'avais glissé mes deux mains contre son corps, sous sa veste, je sentais ses muscles. Je bandais comme un fou et je vous jure que j'ai eu un mal fou à ne pas lui arracher ses vêtements et à ne pas le retourner, le basculer , le culbuter sur une table et à ne pas l'enculer là comme une bête sans rien lui demander en le faisant hurler alors que je gueulerais moi aussi de plaisir, du plaisir enfin consommé . Oué !
    
    Heu …
    
    Je vous prie de m'excuser pour cette instant de romantisme, j'avais oublier que normalement mon histoire devait être une histoire de cul, enfin c'est ce qu'on attend sur ce site … Désolé ! … ( Note de l'auteur )
    
    Je ne le lâchais pas, mes mains ...
    ... parcouraient son corps sous sa veste, elles descendaient sur ses fesses que je sentais fermes puis remontaient tout le long de son dos, il passait une jambe entre les miennes et écrasait mollement mes couilles, pour ce qui est de ma bitte le mot ' mollement ' ne convient plus. Je bandais comme un fou.
    
    Je pouvais constater au passage que je n'étais pas le seul et que finalement, ça pourrait être prometteur, comme quoi les légendes urbaines qui disent que les black, bein ils ont une grosse bitte, bein c'est pas toujours des carabistouilles …
    
    Je glissais une main entre nos deux cuisses ( Façon : tient je cherche quelque chose dans ma poche ? … Non même pas ! ) juste pour tâter, je ne m'en cachais pas et j'étais conforté … Il en avait une belle !
    
    Il en faisait de même et resserrait son étreinte, à cet instant je vous jure qu'on était indécollable, je glissait moi aussi une jambe entre ses cuisses. S'il n'y avait pas eu le bar pour s'appuyer je pense qu'on aurait fini par tombé par terre.
    
    Nos bassins s'écrasaient l'un contre l'autre comme s'ils voulaient déjà se mélanger. Nos bras faisaient preuve de force, nos mains n'étaient que tendresse et caresses. La douceur de la paume de sa main sur ma joue, celle de mon pouce sur son front, sur ses yeux.
    
    Cette étreinte folle était suivie par un long moment de tendresse. Je lui caressait je visage avec un doigt, je le passais sur ses lèvres. Il me le suçait comme une promesse de plaisirs à venir. Je continuait sur ses yeux, doucement, ...
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