JUSTE TIRER MON COUP 1
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
JUSTE TIRER MON COUP 1
Soixante quinze jours, j'avais relevé le défi. L'année précédente j'avais porté le dispositif de chasteté pendant cinquante jours non stop. Je voulais faire plus cette année. Je ne l'ai pas porté qu'une seule fois pendant cinquante jours, je l'ai bien sûr porté à plus d'une autre reprise, cinq semaines par exemple de fins novembre à Noël, puis tout le mois de Janvier … J'ai porté le dispositif plus de deux jours sur trois en moyenne depuis le début de l'année.
Nous étions le premier Novembre, Loctober se terminait dans la sérénité, pas de cris, pas de larme, un peu de frustration et de manque mais une grande sérénité dans mon esprit et dans mon corps. Je n'avais pas pu tripoter ma nouille depuis plus de deux mois … Mon corps, mon cerveau attendaient le jour, l'heure ou je choisirai de me libérer. Pour le moment je gérais avec délectation le stress des derniers jours, des dernières heures.
Ce stress semblait plus fort que quelques semaines plus tôt, pourtant il s'agissait de soixante quinze jours et le manque aurait déjà du être ma seule obsession depuis déjà un moment. L'an dernier au bout de cinquante jours j'étais prêt à continuer encore jusqu'à la fin de l'année ou au moins jusqu'à Noël et c'est seulement à cause d'un petit incident de parcoure que j'avais retiré le dispositif. Une irritation intense s'était manifestée sur le côté droit à la base de mon pénis, et ne se calmais pas. J'avais alors décidé de retirer le dispositif, ...
... finalement c'était juste les poils qui repoussaient. Il a fallu une petite semaine pour que tout entre dans l'ordre, j'ai remis le dispositif au bout de la semaine mais le décompte était arrêté.
J'avais largement dépassé ma période de l'an dernier, le passage des cinquante jours n'avait présenté aucune difficulté. C'est seulement, à la fin de mon défi que mon corps protestait. C'est sans doute le fait de savoir que j'allais mettre fin à cet enfermement. Peu de temps avant, mon corps savait que la semaine qui venait ne verrait aucun changement, la suivante non plus … Mais à ce moment mon corps se disait que une heure plus tard peut être mon cerveau aurait pris la décision.
En fait la décision je ne voulais pas la prendre comme ça, en claquant les doigts puis en retirant fébrilement ma cage à bitte avant de me branler comme un malheureux branleurs, un de ces branleur pathétique que je décris quelquefois dans mes histoires, et qui quelque part tient un peu de moi ( oui là je sais ce commentaire était inutile … Je ne le referai plus ) . Il me faudrait un élément déclencheur, un protocole, une mise en scène, une situation. ( c'est tout de même plus classe ! )
Un élément dans le genre, une sortie en boîte ou en club, un lieu de sortie convenable. Un lieu ou on peut consommer sur place … Je ne vais pas aller traîner n'importe ou moi ! Surtout au bout de soixante quinze jours. Je n'avais pas pensé à cette manière de sortir par la grande porte de cette période d'abstinence, elle ...