1. Le goût de Tania


    Datte: 22/10/2022, Catégories: fh, poilu(e)s, amour, odeurs, Oral occasion, Auteur: InLust, Source: Revebebe

    ... furtive et plus petite caressait la mienne avec malice et espièglerie. De temps à autre en ouvrant les yeux, j’apercevais les tiens mi-clos. Tu m’affublais alors de ce sourire du regard dont tu as fait ta marque tant il dit de choses sur toi, le soleil, la générosité et les cerisiers en fleurs.
    
    Plus tard, je découvrais sous ta poitrine puissante et souple, le goût de ta transpiration, Tania. Et je devais retrouver ce goût fort, musqué et poivré sous tes aisselles… je sais m’être fait la réflexion qu’elles avaient la saveur d’une poire Abate mûre. Je me souviens parfaitement de tes râles de plaisir, longs, suaves et profonds lorsque j’y passais lentement ma langue, tes poils de repousse libérant au passage de celle-ci leur subtil nectar. La pluie semblait avoir cessé et les gouttières y allaient de leur glougloutement si caractéristique d’après la pluie.
    
    J’ai longuement humé chaque infime partie de ton ventre, Tania, puis je suis descendu entre tes cuisses et là, à moins d’un centimètre de ta chatte au naturel, j’ai fermé les yeux et j’ai inspiré profondément le bouquet d’effluves émanant de tes poils et de ton calice… c’était un mélange inouï et enivrant de cyprine, d’urine et de transpiration, d’abord quelques notes de tête acides et poivrées puis une base, un parfum doux et intime qui enveloppe, qui enrobe et qui emporte…
    
    La pluie avait repris, elle s’était mue en tempête et avec le recul je peux te dire que ton goût intime m’a réellement ensorcelé. J’ai voulu ...
    ... recueillir sur ma langue et dans ma bouche chaque once de goût présent sur et dans ta chatte. Je t’ai léchée longtemps, très longtemps, tellement longtemps… j’en ai perdu toute notion du temps. J’ai vu ton corps se tendre et se détendre, rythmé par tes gémissements qui à certains moments se faisaient cris. J’ai senti tes jambes s’ouvrir au maximum puis se relever contre tes seins pour enfin trembler tandis qu’avec tes mains, tu agrippais les draps avec une tension extrême. Tu m’as fait signe de te laisser un peu souffler ajoutant exténuée, dans ton russe maternel, comme on implore une grâce : пожалуйста, дорогая… mais je n’en ai pas tenu compte, tu ne le souhaitais pas vraiment. Aussi j’ai persévéré à te goûter jusqu’à la saveur âcre et secrète de ton cul, au plus profond de ta chair, au plus profond de toi… Satanée âme slave !
    
    Et pendant longtemps plus rien ne m’importa vraiment hormis de te faire vibrer, Tanusha !
    
    Nous passions ainsi de nombreux après-midis ensemble, la plupart du temps, mon visage blotti entre tes cuisses. Ma bouche explorait sans discontinuer une zone allant de l’arête qui surmonte ton clitoris au plus haut de ta raie des fesses, jusqu’à ce que le plaisir vienne et te fasse trembler de tout ton être. Puis après une courte pause, nous recommencions.
    
    Au bout d’un moment, je fus stupéfait de constater combien ces séances chez toi, m’apaisaient. J’en ressortais certes avec la langue douloureuse mais surtout avec une sérénité inimaginable. Pendant toutes ...