Esclaves au Travail... 03 - Histoires de Sexe

Esclaves au Travail... 03

... deux hommes qui s'arretent de parler, et même de respirer, pendant que Julie et moi nous déambulont dans la pièce ondulant du cul sur nos talons aiguilles.

Je respire enfin. Le contrat est signé. Monsieur Traoré tout sourire serre la main de Moussa. Le patron d'Africa Creativ propose le verre de l'amitié pour fêter l'événement. Julie et moi faisont le service bien sur. Je rempli un verre et le tend avec un sourire à faire fondre un iceberg à monsieur Traoré.

Il le prend et je vais pour m'éloigner quand un regard noir de Jalia m'en dissuade. Je comprends vite pourquoi. La main baladeuse du grand black caresse mes bas couture! Sa main noir remonte sur ma jambe jusqu'en haut de mes cuisses atteigant presque l'aine. Je suis rouge et je retire sa main. Il semble surpris.

- Eh bien , Moussa et Jalia m'on dit que vous faisiez parti du contrat.

Je suis soufflée par cette réponse. Je jette un œil en direction de Moussa et Jalia, les salauds! Puis d'un coup, je comprends. Moussa nous fait passer moi et Julie pour des putes! Boubacar Traore croit avoir affaire à des escort-girls.

La main de Boubacar continue de caresser mes jambes. Je constate que Julie subit la même chose avec l'avocat. Elle est assise sur une chaise, les jambes croisées et le gros porc caresse les cuisses de la secrétaire de direction en soufflant bruyamment. Transpirant.

Monsieur Traoré prit ma main et la posa sur sa braguette. Je sens une érection naissante qui me paraît déjà impresionnante. Il ...

... sortit son sexe et d'autorité m'ordonna de le masturber. Je m'éxécute, manuélisant sa bite de ma main manucurée. Très vite, le membre d'ébéne devint énorme dans ma petite main. Julie fait de même avec l'avocat.

Traoré appuya sur mes épaules et je me retrouve accroupi devant lui avalant sa bite. Il me tient par les cheveux faisant couliser son membre entre mes lèvres. Julie, penchée en avant, avale avec difficulté la bite de l'avocat. Jalia et Moussa observent la scène avec un sourire.

Boubacar m'a poussé contre la table de réunion, il a retroussé ma jupe et il a rugit de bonheur en découvrant que je ne portait pas de string.

Il tatonna un peu et s'enfonca de tout son long me tenant aux hanches. Je sens sa bite coulisser. Il me prend un sein qui deborde de mon chemisier à pleine main le malaxant sans douceur.

J'apercoit Julie. Elle plus à plaindre que moi. Elle est empalée sur la queue de l'avocat, assis sur une chaise, et elle gigote sur sa bite en se mordant les lèvres, ses seins gigotants dans tout les sens.

Julie et moi, en équilibres sur nos talons aiguilles, nous gémissons et crions sous les violents coups de pines de Boubacar et son avocat. Ils nous prennent debout comme des soudards en plein milieu de la salle de réunion. Leurs ventres vient claquer contre nos fesses. Julie, le regard fou, bave sur ses seins. Je gémis sans discontinuer. Moussa s'approcha et appuyant sur ma tête força le barrage de mes lèvres rouges enfonçant sa bite jusqu'au fond de ma ...