1. Reprise des négociations


    Datte: 14/10/2022, Catégories: fh, grosseins, lunettes, Collègues / Travail entreseins, pénétratio, occasion, Auteur: Perdita, Source: Revebebe

    ... d’amplifier mes mouvements au maximum pour que mon sexe atterrisse complément dans la bouche de mon amante.
    
    M’apprêtant à jouir, je ferme les yeux, relève la tête, l’orgasme libérateur s’approche quand soudainement le mouvement s’arrête.
    
    — Pierre, n’oubliez pas notre accord, on avait dit que je m’occupais de vous, mais vous m’aviez aussi promis que vous me démontriez la chatte
    
    Elle se relève, déboutonne son jean moulant, dessous, une très jolie culotte en dentelle noire échancrée, retire ses escarpins et se penche en avant pour finir de démettre son vêtement. Ses jambes sont parfaites, ses cuisses pleines, ses mollets galbés, ses hanches à tomber, elle a le corps le plus parfait du monde. Et en plus, elle est en train de tortiller merveilleusement du cul pour enlever sa culotte.
    
    Dessous, son abricot épilé se découvre, les lèvres ouvertes de mouille. Le regard de braise, elle s’approche de moi, me masturbe d’une main experte et m’embrasse.
    
    Je retrouve le goût de sa bouche, ce zeste sucré proche de la bergamote. Je retrouve sa langue charnue qui joue avec la mienne. Je prends son visage des deux mains et introduis ma langue dans sa bouche. La salive s’écoule de nos lèvres. Nous entremêlons nos langues, notre souffle rythmé ensemble. Ses yeux sont désormais clos, je ferme les miens. Le temps s’arrête, nous savourons ce simple instant de félicité. Pourquoi ne nous sommes pas revus depuis une semaine ? Je ne peux plus me passer d’elle, je ne peux plus vivre sans ...
    ... mon acheteuse qui veut profiter de mon corps. Je ne peux plus vivre sans profiter du sien. Je veux lui montrer que je l’aime, je veux lui faire sentir comme elle m’excite.
    
    Ma main descend vers sa hanche, se glisse entre ses cuisses et caresse son abricot doux et lisse. Au premier contact de son clitoris, Faustine tressaille. Notre langoureux baiser se brise, elle recule, j’ouvre les yeux, sa main lâche mon sexe.
    
    L’air gourmand, ma cliente me lance :
    
    — Nous allons passer à la dernière partie de l’accord, Pierre.
    
    Et elle s’assoit sur un carton à mi-hauteur.
    
    Il n’y a que nous deux dans l’atelier, la lumière blanche dégage une étrange ambiance. J’enlève mon polo trempé par la sueur, je me rapproche.
    
    Sa main droite reprend mon érection avec fermeté, elle écarte les jambes, son sexe lisse touche lentement mon gland, ses yeux sur les miens, je meurs d’envie de la prendre, elle laisse durer le plaisir, un léger sourire s’entrouvre sous le velours rouge de ses lèvres.
    
    Le tableau est fabuleux. Moi, debout, le torse nu, le jean à terre, elle, assise les jambes écartées sur un carton, au summum de l’érotisme, complètement nue, excepté ses lunettes, à part son collier d’argent, les cheveux défaits, mouillés qui lui collent au visage. Les yeux clos, la bouche entrouverte, les mains sur les côtés, les seins parfaits, pleins, toujours gagnants contre la gravité au mépris de la physique, les hanches, dessinées par Dieu lui-même et faites pour être caressées.
    
    Je saisis ...