La rencontre - Histoires de Sexe

La rencontre

... important, ma petite ! Vous aimeriez un thé fruité ?
— Oui, c’est gentil, merci

Olga était en feu et elle sentait que cette gamine aussi. Son hypersexualité avait démarré au quart de tour. Olga fit signe à Philippe de la rejoindre.

— Ta petite étudiante timide est à poil sous ses vêtements. Si tu veux tout savoir, je pense que c’est une belle petite salope.
— Non, ce n’est pas vrai ? Mais tu connais notre contrat ! C’est mon rôle de recruter tes partenaires. De plus, on ne touche à personne de notre entourage professionnel.
— Vous allez l’embaucher ?
— Non, ce n’est pas prévu.
— C’est toi qui l’as amenée jusqu’ici, non ? Donc tu as ma réponse.

Philippe se trouvait coincé.

— Au fait, elle veut un thé fruité. Viens m’aider à préparer la collation.

Philippe se leva et Olga en profita pour se blottir dans ses bras, se faire chatte, l’embrasser et poser une main sur son entrejambe.

— Tu bandes, mon chéri, elle te fait de l’effet cette petite.

Ils s’embrassèrent jusqu’à ce qu’un craquement de parquet trahisse la présence d’Elodie dans l’entrebâillement de la porte. Elle avait probablement tout entendu. Olga ne retira pas sa main de là où elle était, continuant de caresser la queue de son chéri. Elodie se tenait devant eux, pieds nus dans sa petite robe noire. Elle avait remonté ses cheveux par une simple barrette sage, dévoilant un sublime cou fragile, blanc, fin et long. Le rouge à lèvres qu’elle ne mettait que très rarement contrastait avec son teint de ...

... lait. Le papillon s’était changé en chrysalide, passant d’une étudiante garçonne à une magnifique jeune femme.

Olga s’électrisa de voir cette petite, nue dans une robe à elle. Elle tendit une main vers Elodie pour l’inviter à s’approcher d’eux. L’étudiante se sentit irrémédiablement attirée, comme si un aimant et une force invisible démoniaque la poussaient à avancer. Leurs mains se touchèrent dans un contact électrique, la tension dans l’air était palpable. Olga porta la main d’Elodie à sa joue et huma le bout de ses doigts.

— Combien de fois t’es-tu caressée aujourd’hui ?

Les joues roses d’Elodie revinrent au pourpre et les hormones d’Olga partirent dans tous les sens.

— Trois fois.

Le chiffre venait de tomber, édifiant, la vérité pure.

— Tu vois, mon chéri, que c’est bien une petite salope.

Elodie se figea. Puis Olga ajouta à destination d’Elodie :

— Tu as raison, moi aussi je me masturbe à chaque fois que j’ai envie, c’est-à-dire souvent !

À ces mots, un frisson parcourut Elodie de la tête aux pieds. Olga passa une main sous la robe noire.

— Ces cuisses sont pleines de coulure de mouille, tu es trempée, ma douce.

Elodie n’osa pas avouer son côté fontaine qui lui faisait tellement honte.

— Avoue que tu es une petite salope !

Le regard interrogateur d’Olga était planté dans les yeux d’Elodie qui tremblait et elle se sentit obligée de répondre.

— Oui, lâcha-t-elle dans un murmure

Le baiser qui suivit entre les filles fut des plus ...