A trois ... enfin plutôt à six
Datte: 12/10/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... une autre formule, un peu plus conviviale ?
Et bien oui, c’est exactement cela qui nous fut proposé.
L’étape intermédiaire était d’évidence le bain de minuit, à poil bien sûr vu qu’aucun d’entre nous n’avait prévu de maillot pour se rendre à cette invitation impromptue de fin de repas gastro. Étape qui avait le goût la couleur l’odeur forte du préliminaire.
Au sortir du bain tout mouillés moitié séchés des grandes serviettes qui nous drapaient, on a suivi nos hôtes au « solarium » Dans la pénombre vu qu’il faisait nuit noire soleil couché depuis longtemps qui ne se lèverait d’aube que bien plus tard.
Moi, j’étais mouillé mais déjà bien bandé et matais les petites fesses ibériques dansantes devant moi. Et je pensais, je leur laisse le beau postère de ma Française. Généreux je suis, comme toujours.
Faut dire que celle-ci avait de quoi satisfaire la main de l’homme et même pire de deux d’entre-eux. Deux magnifiques cotylédons callipyges ouverts cambrés sur la craque comme invite irrésistible. Profonde, l’invite… Et manifestement généreusement poilue et trempée.
J’avais pour ma part une petite Catalane à chaque bras, mes mains à leur tailles fines dures et musclées. Les filles riaient. Elles avaient compris que leurs mecs étaient en grande vadrouille avec la Française et qu’elles devraient, elles, se rabattre sur le Français. Elles rigolaient et cela ne semblait pas leur déplaire.
Le solarium était garni de très larges matelas et j’ai décidé que l’un ...
... seulement suffirait à nos ébats à trois.
Les serviettes étaient tombées au sol et les filles toutes nues se roulaient contre moi, moi aussi nu comme un ver, dans la chaleur de l’été catalan.
Je sentais leurs touffes épaisses racler contre mes cuisses. Elles se frottaient, humides et ouvertes. Elles cherchaient. Moi je pensais que ces Catalanes avaient bon esprit et je les serrais toutes deux dans mes bras avec tendresse et amitié.
Bien entendu, ce qui devait arriver arriva, et je me suis retrouvé planté au fond de l’une d’elles, étroite et profonde, gluante de sucs d’amour. L’autre n’a marqué aucune jalousie et me caressait les fesses avec une certaine tendance, ardente, indécente à vouloir visiter mon cul.
Et j’étais, étonnamment, plus intéressé par ce doigt inquisiteur qui parcourait mon périnée que par le fourreau serré qui accueillait ma bite.
Encore que les deux sensations complémentaires m’emmenaient en paradis.
A côté de nous, sur le large matelas symétrique du solarium, les trois acolytes s’adonnaient dans la sombre obscurité à des jeux érotiques similaires. Et la Française chantait.
L’archet ramonait langoureusement ses intérieurs et elle disait en mélopée son bonheur.
Les deux Espagnols avaient manifestement trouvé le mode d’emploi de la jolie blonde et, soit l’un seul à la manoeuvre, soit à quatre mains, ils faisaient chanter la belle sur les hauteurs de Barcelone au milieu des lauriers roses de l’hacienda.
Quand les trilles s’interrompirent nous ...