Mes notes - Histoires de Sexe

Mes notes

... sur nos propriétés et pas des maisons, pour le même prix.

— Capitalisme sauvage, une idée de ton frère, me dit Lucie.

Tout va donc beaucoup plus vite, et…

— Je suis ruinée, se lamente bientôt Anaïs.
— Eh oui, ma pauvre chérie, approuve Julien.
— J’achète ta veste de pyjama, propose Anthony.
— Moi aussi, intervient Thomas.

S’y ajoute Sébastien. Des enchères s’ensuivent, mais c’est à Anthony qu’Anaïs donne ce léger vêtement de nuit, rose bonbon.

— Ce que j’ai dévoilé est à moi, prévient-il en prenant en bouche les tétons d’Anaïs.
— Encore une idée d’Antoine, me glisse Liliane.

Ça ne m’étonne pas. Moi, je suis riche.

— Une veine de cocue, Sophie, lance Anaïs aux seins encore humides de la salive d’Anthony.

Julien donne sa veste de pyjama à Liliane. Elle suce ses petits tétons de garçon. Anaïs enlève son pantalon de pyjama pour le donner à Thomas.

— Ce que tu as dévoilé est à toi, lui dit-elle, allons dans ta chambre.

Ils disparaissent. Chloé semble furieuse. Jalouse ? Eh bien, elle se vengera, voilà tout…

— Anaïs est partie, j’hérite, me voilà riche ! s’exclame Julien.

Nous ne reverrons de la soirée ni Anaïs ni Thomas. Lui qui se disait amoureux de moi ! Il est vrai que j’étais redevenue indifférente, et me moquais un peu trop de lui.

Riche à millions, il me serait loisible d’acheter le pyjama d’Anthony et ce qu’il y a dessous. Je néglige. Julien achète la veste de pyjama de Chloé et suce ses tétons roses. Mon Sébastien donne sa ...

... veste de pyjama et ses tétons à Liliane avant que Lucie obtienne le reste, tout le reste… Je passe donc la nuit seule. Il est vrai qu’avant de l’emmener dans sa chambre Lucie m’a demandé si je permettais. J’ai permis… Je suis vengée par avance.

3 décembre

Dans l’ascenseur, un bourgeois du quatrième :

— Des co-propriétaires se plaignent du bruit que vous faites parfois, vous les jeunes du cinquième. Je vous ai défendus, vous avez bien le droit de faire la fête. Nous aussi, d’ailleurs, ça nous arrive, le mardi soir.

Et patati et patata… Je serais la reine de leurs soirées. Sa main sur ma hanche, je tape :

— On ne touche pas !
— Revêche, hein ! Je suis ton propriétaire !
— Celui de ma chambre, tout au plus.
— Je te ferai cadeau du loyer.
— C’est mon père qui le paye.
— Je te le rembourserai. Viens chez moi.
— Ta femme n’y est pas ?

Puisqu’il me tutoie…

— Non, bien sûr…
— Tu pourrais être mon père.
— Il y a des pères incestueux, et tu es si jolie !

L’ascenseur s’arrête au quatrième. Il ne va pas plus haut, les boniches finissaient à pied, nous aussi. Je fais semblant d’hésiter…

— Alors, tu viens ?
— Une autre fois, peut-être…

Il m’a amusée mais je n’irai jamais chez lui le mardi soir. Pourquoi ce jour-là, d’ailleurs ? Il doit y avoir des enseignants. Ce serait amusant d’y rencontrer mon prof de philo.

Fontaine… ?

9 décembre

Nicolas, un grand rouquin, partage désormais la chambre de Lucie. S’il prend une douche ici, je saurai s’il est ...