1. La coquine fille de ma voisine (1)


    Datte: 11/10/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Eredin, Source: Xstory

    ... laisser passer un chat ou un petit chien. Nous étions nus, chacun d’un côté de cette frontière métallique. Je voulais dire un mot, mais elle ne m’en laissa pas le temps, agrippa ma nuque et m’embrassa à pleine bouche. Je sentis sa langue jouer avec la mienne, et nos salives se mélanger.
    
    Ce contact inattendu renforça mon érection et m’étant rapproché du grillage, ma bite passait à travers et mon gland caressait le pubis de Laura, plus petite que moi. Tout en continuant de m’embrasser, elle saisit ma queue droite comme un i et commença à me masturber. Elle colla ensuite son front sur le mien, en me regardant dans les yeux. Son regard bleu-vert était perçant. Je passai le bras à travers la grille afin de caresser son clitoris. Je commençais à expirer de plus en plus fort, à cause de l’excitation, et quelques secondes après, elle en fit de même. Elle sourit et, sans prévenir, se mit à genoux et engloutit la longueur de mon sexe dans sa bouche. Sa tête fit quelques aller-retour, en s’accélérant, avant de ralentir et d’aller le plus loin possible. Je sentais mon gland frotter le fond de sa gorge. Elle suffoquait, je ne la retenais pas avec ma main, qui était simplement posée sur le haut de sa tête, elle restait comme cela, volontairement, comme une pro, pensai-je.
    
    Après une gorge profonde des plus divines, Laura me regarda, sans avoir lâché son sourire malgré ses yeux humides dus à sa performance orale, et se retourna avec grâce, en se cabrant. Elle me chuchota « Baise-moi ! ...
    ... ». De dos, elle était tout aussi parfaite. Je saisis ma bite, l’orientai en direction de son vagin, et agrippai ses hanches. Mon sexe coulissa doucement et sans effort dans sa fente humide. Je fis quelques mouvements lents, avant de commencer à accélérer. Curieusement, l’idée de ne pas utiliser de préservatif me traversa l’esprit uniquement à ce moment, mais cela rendait le tout plus excitant encore (dans ce genre de moment, on ne réfléchit plus vraiment). Les claquements de mes couilles sur ses cuisses étaient seulement accompagnés des couinements de plaisir de Laura, qui était maintenant complètement penchée en avant et que je tenais par les bras (qu’elle tendait en arrière), toujours à travers le grillage.
    
    Ses cheveux longs ondulaient en accord avec mes coups de reins, tout comme ses seins, je présumais. Les couinements de Laura se transformèrent en cri, peu discret (car même si d’autres voisins ne pouvaient nous voir, ils pouvaient nous entendre). Laura me criait de ne pas arrêter, puis elle se raidit, trembla et se faisait plus lourde, comme si elle tombait, alors que je la tenais pas les bras. De la cyprine dégoulinait en abondance sur ma queue, mes couilles et mes cuisses. Laura, après quelques secondes, s’avança afin de retirer mon pénis de sa chatte. Je m’attendais à ce qu’elle parte, mais là encore elle fut surprenante : tout en restant de dos, elle saisit mon chibre, trempé de mouille, et l’orienta délicatement vers son anus. Je n’avais jamais essayé la sodomie ...